Actualités of Sunday, 19 October 2025

Source: www.camerounweb.com

URGENT: les militaires ont débarqué, la vie de cette femme en danger

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Mme Ngah, vacataire à l'Hôpital Militaire de Région n°1 de Yaoundé, a décidé de rompre le silence en dénonçant un système qu'elle qualifie de « terreur et de corruption ». Depuis plus de deux ans, elle affirme être victime d'une cabale orchestrée par des supérieurs hiérarchiques, allant de violences physiques à des extorsions systématiques. Plus grave encore, après avoir porté plainte auprès de la Gendarmerie Nationale pour avoir dénoncé ses agresseurs, elle affirme avoir été suspendue de son poste en représailles. Ce soir même, des éléments armés et masqués se sont présentés à son domicile sans mandat, la poussant à se terrer chez elle, terrifiée. Son appel est direct : elle demande une protection immédiate et un entretien avec le Ministre de la Défense avant qu'il ne soit trop tard.





TRÈS URGENT : LA VIE DE CETTE FEMME EST EN DANGER
Mme Ngah, vacataire à l'Hôpital Militaire de Région n°1 de Yaoundé, brise le silence et dénonce un système de terreur et de corruption. Elle est menacée et traquée pour avoir osé dénoncer la vérité et l'injustice.
​Depuis plus de deux ans, je suis victime d'une injustice criante et d'une cabale orchestrée par la jalousie et l'abus de pouvoir. Après avoir subi une audition humiliante et déplacée à la SEMIL, les procès-verbaux ont été classés, confirmant que cette affaire n'était qu'une bassesse motivée par l'envie.
​DE LA VIOLENCE PHYSIQUE À LA SUSPENSION ABUSIVE
​Le calvaire ne s'est pas arrêté là. J'ai été frappée par une femme et menacée avec une arme par l'Adjudant chef major et le Sergent Assako Giresse, tous deux membres du personnel militaire. Face à ces violences inouïes, et notamment après les propos abjects et menaçants du sergent qui m'a dit que je finirais « comme Kadhafi » pour avoir voulu « arranger le laboratoire », j'ai porté plainte à la Gendarmerie Nationale (SED PCOSTP).
​La réponse du système a été immédiate et brutale : le lundi suivant, j'ai été lâchement suspendue de mon poste, uniquement pour avoir eu le courage de dénoncer mes agresseurs et les dysfonctionnements. C'est la preuve accablante que, dans cet établissement, la dénonciation est punie et les agresseurs sont protégés.
​LE POIDS DE LA CORRUPTION ET LA LOI DU SILENCE
​J'ai servi mon travail avec cœur, passion et détermination. Pourtant, la vérité est que, pendant plus de deux ans, j'ai été forcée de remettre un million de francs CFA tous les six jours à un supérieur, alors que mon propre salaire n'était que de 50 000 F ! Aujourd'hui, celui à qui j'ai tout donné, celui qui profitait de mon travail, cherche à me salir, m'accuser à tort et me nuire.
​Le Médecin-Chef de l’hôpital se vante d’être l’ami du Ministre de la Défense, affirmant qu’aucune autorité ne peut l’atteindre. Est-ce là un permis d'impunité ?
​TRAQUÉE ET EN DANGER DE MORT
​Aujourd'hui, je ne suis plus une employée, je suis une cible. Depuis une semaine, je vis cachée chez moi. Le pire s'est produit ce soir : des éléments armés et masqués de la SEMIL ont encerclé ma maison à 18h30, sans mandat, me traitant comme une criminelle. Je suis actuellement enfermée dans ma chambre, terrifiée, sur ordre de mon enquêteur de Gendarmerie.
​Je ne suis ni une criminelle, ni une rebelle ! Je suis une femme, une mère, une employée civile qui voulait juste gagner honnêtement sa vie.
​J'exige aujourd'hui :
​Une protection immédiate face à ces menaces armées.
​Un entretien direct avec le Ministre de la Défense pour exposer cette vérité qui dérange.
​S'il vous plaît, ne laissez pas cette injustice m'anéantir. Aidez-moi avant qu'il ne soit trop tard. Ma vie est en danger !