Actualités of Friday, 27 June 2025

Source: www.camerounweb.com

'Ton tube digestif guide ta vie': la réponse cinglante d'Arol Ketch à Bruno Bidjang

Arol Ketch Arol Ketch

L'écrivain et activiste politique très connu, Arol Ketch a lu la tribune de Bruno Bidjang dans laquelle ce dernier l'insulte copieusement.

La réponse d'Arol Ketch est beaucoup plus cinglante.

Non seulement l'écrivain dévoile comment Bruno Bidjang a écrit sa tribune grâce à l'intelligence artificielle, mais il dévoile quelques informations scandaleuses sur le parcours professionnel et les aptitudes du Directeur des médias du Groupe l'Anecdote.


"Cher Bruno François Bidjang

J’ai lu ta fameuse réponse que tu annonçais à grands renforts de suspense.

J’avoue que je m’attendais à un minimum de profondeur, voire à un éclair de lucidité… mais quelle déception ! Un ramassis d’incongruités, visiblement généré à la va-vite.

Le détecteur d’IA est formel : ton texte a été pondu par ChatGPT (Cf image ci-dessous). La tricherie et la falsification semblent couler dans tes veines.

Je comprends mieux pourquoi tu as dû fuir l’ESSTIC dès que ton véritable niveau a été exposé au grand jour… notamment après le tristement célèbre épisode des 32 fautes en dictée.

Décidément, l’intelligence artificielle donne des ailes, même aux cancres. Voilà que certains, soudainement dopés par les machines, s’imaginent détenir de l’esprit, une pensée, une plume… Mais un perroquet qui récite par exemple un poème d’Engelbert Mveng, reste un perroquet.

Dis-moi franchement, tu as vraiment besoin de l’IA pour me répondre ?

Est-ce que ton inspiration est si sèche que tu dois appeler des renforts numériques ?

Ou bien est-ce juste une tentative désespérée d’éviter d’ajouter une 33e faute à ton palmarès ? Je comprends que tu veuilles fuir ce surnom de « Monsieur 32 fautes », mais là, tu t’enfonces.

Comment comptes-tu tenir tête dans un débat face à moi, si tu as déjà besoin de l’IA rien que pour me répondre ?

Retourne sur les bancs. L’IA ne sera pas toujours là pour te souffler tes répliques.

Et maintenant, je fais quoi ? Je réponds à toi… ou à ChatGPT ?

Restons logiques ; je vais commencer par te répondre, toi, le diablotin derrière la façade IA.

Je te l’ai dit, je te le redis, et je ne cesserai de le répéter : je suis un homme vertueux et de principes, et je ne m’affiche pas avec des présumés criminels.

Dans un pays sérieux, les diablotins de ton espèce seraient déjà mis au ban de la société, effacés de l’espace public. Quand on est accusé de crimes aussi odieux, on ne parade pas, on rase les murs.

Mais toi, nourri à l’arrogance, habité par ton tube digestif et prisonnier de ton confort, tu te crois tout permis.

Tu veux débattre avec moi ? Très bien. Mais de quoi ?

De techniques d’assassinat ?
De journalisme à gage ?
De prosternation devant le pouvoir ? de technique d’aplaventrisme ? de comment entrer dans le trou à la demande de son boss ? de comment soutenir la candidature d’un vieillard de 93 ans ?
Ou encore de pratiques sexuelles douteuses ?

Non, Bruno. Qu’Internet ne t’égare pas. nous ne sommes pas de la même classe.

Ton tube digestif guide ta vie. Moi, je pense. Comme disait Victor Hugo : « La principale fonction de l'homme n'est pas de manger ; mais de penser. Sans doute qui ne mange pas meurt, mais qui ne pense pas rampe ; et c'est pire ».
Tu rampes. Je marche debout.

Je suis libre. Toi, prisonnier ambulant ; tu dois te glisser dans un trou pour un homme afin de gagner ton pain quotidien. Et tu appelles ça un métier ? de la loyauté ? Non, c’est de la servitude.

Vois-tu, le changement pour lequel nous nous battons, c’est aussi pour toi. C’est pour te libérer de la servitude, c’est même pour protéger ce qui reste de ton an..us. Nous savons tous, ce que ce régime du magico-anale fait subir aux jeunes.

Tu trembles déjà à l’idée du changement qui s’annonce. Et tu as raison : il arrive, inévitablement, inéluctablement. Je le vois poindre à l’horizon. Et ce jour-là, tu devras travailler pour vivre, non plus ramper pour survivre. Et surtout, tu devras rendre des comptes.

Et si, comme c’est fort probable, tu ne parviens pas à t’en sortir une fois l’heure des comptes venue, alors poussé par mon légendaire bon cœur je supplierai Équinoxe TV, la chaîne du peuple, de t’offrir une place dans une édition spéciale de Regard Social.

Tu pourras y présenter tes excuses à la République… et peut-être repartir avec quelques pièces jetées par des âmes sensibles.

C’est mon cœur ci qui va me tuer un jour !"