'Spéciale partouze party': un projet très sale de jeune, pris la main dans le sac

17 ans, 25 ans, jeunes filles comme garçons, ont trouvé de nouvelles occupations, pour les vacances qui se profilent à l'horizon: le sexe à volonté et à profusion.

Il ne s'agit pas de là, de la prostitution. Il s'agit plutôt de s'adonner au sexe pour le plaisir, pour le fun, pour distraction. C'est ainsi que des jeunes s'apprêtaient à organiser le 09 juin 2023 à partir de 19 heures, une sexe party au cours de laquelle, il est prévu des séances de partouzes jusqu'à l'aube.

Le lieu de ces pratiques obscènes et dignes d'une société en déchéance, n'est pas encore dévoilé. Mais les affiches partagées avec matraquage sur les réseau sociaux, ont attiré l'attention des leaders d'opinion, qui ont filé l'info à la police.

Les médias togolais, puisque les faits se passent dans la capitale de ce pays d'Afrique de l'ouest, ont dénoncé cette pratique qui vient de naître dans ce pays.

"Dans le monde entier, la dépravation des mœurs a atteint un point culminant. Si le partage des vidéos Sextapes ou des ébats sexuels sur les réseaux sociaux est devenu monnaie courante, le partage des affiches immorales invitant les citoyens à s’inscrire pour une partouze, prend de plus en plus de l’ampleur. Au Togo, celle qui fait le chou gras des réseaux sociaux actuellement est dénommée « SPÉCIALE PARTOUZE PARTY »...Cet événement indescriptible à caractère obscène qui se tiendra dans quelques jours plus précisément le 09 juin 2023 à Agoè à partir de 19heures doit interpeller toutes les autorités compétentes du pays spécialement celles de la localité. L’affiche qui passe en boucle sur les réseaux sociaux précise que les désirants doivent faire l’inscription qui s’élève à 3.650 FCFA", lit-on sur le site leneutre.info.

Au Cameroun, les fléaux dénoncés depuis des années maintenant et qu’on essaie de combattre par tous les moyens sont nombreux. L’un d’eux est la dépravation des jeunes hommes et femmes ou soit alors des personnes matures. Ces dernières sont aussi incluses dans le lot.

Il a déjà été donné à plusieurs reprises de constater que la génération actuelle aime se livrer à des pratiques intimes anormales, des comportements qui frisent parfois la folie.

Mais c’est malheureusement la tendance importée tout droit de l’Occident et que même les vedettes observent et n’hésitent pas à partager avec ceux et celles qui les idolâtrent.

Les partouzes et d’autres pratiques sexuelles déshonorantes sont observées ici et là. Les auteurs et auteures de ces genres de comportements sont soit à la recherche immodérée de l’argent ou du plaisir ou encore des deux (02).

Le proxénétisme est naturellement devenu monnaie courante. Il est défini comme le fait de générer des profits sur l'activité de prostitution d'autrui grâce au pouvoir que l'on exerce sur cette personne qui se livre à cette pratique.

Le proxénétisme est illégal dans de très nombreux pays dans le monde, comme au Cameroun. Mais en cachette, des individus le font. Une partie d’entre eux ont récemment été interpellés par les autorités policières. Ces hommes et femmes ont été pris en flagrant délit.

C’est une bande bien organisée derrière laquelle se trouve un manager qui s’occupe de dispatcher les rôles à tous et de répartir les revenus tirés des soirées intenses. Tout est parti d’une affiche suffisamment relayée sur les réseaux sociaux.

Sur le visuel de communication, on peut lire « Soirée de rêve. Partouze party, paradis du plaisir. Interdit de photographier. Pass : 50 dollars (soit environ 30 000 francs CFA, ndlr) ». La partie programmée sur le 08 avril 2023 a effectivement eu lieu avec des hommes et femmes venus nombreux pour se procurer du plaisir.

Hélas pour eux, un des hommes a subitement perdu la vie. La partouze a finalement pris une allure de drame qui a drainé immédiatement une horde de policiers. Tous les membres présents sur place ont été arrêtés et menottés. Des questions précises leur ont été posées pour savoir ce qui s’est réellement passé.

Les fautifs avaient du mal à regarder dans le viseur de la caméra fixée sur eux au moment où on les interrogeait. Ils avaient énormément honte, de peur que leur famille les reconnaisse et découvre leur vrai visage, c’est l’impression donnée dans les vidéos devenues depuis lors virales sur la toile.