Actualités of Wednesday, 30 July 2025

Source: www.camerounweb.com

Sextape des Policières camerounaises: Cynthia Fiangan sort du silence et fait une surprenante révélation

Cynthia Fiangan sort du silence et fait une surprenante révélation Cynthia Fiangan sort du silence et fait une surprenante révélation

Le Cameroun est sous le choc après la diffusion d’une vidéo montrant deux policières en plein acte sexuel dans ce qui semble être un bureau administratif. Les images, devenues virales depuis le 27 juillet, ont provoqué une onde de choc dans l’opinion publique et relancé le débat sur les mœurs au sein des institutions étatiques.

Les deux femmes, identifiées comme Christelle Eboa, en service au commissariat central n°1 de Yaoundé, et une autre commissaire dont le nom n’a pas encore filtré, apparaissent dans des positions compromettantes, avec en arrière-plan la photo officielle du président de la République. Selon plusieurs sources, la vidéo aurait été enregistrée à partir du téléphone de Josué Ossomo, ancien patron de la police dans la région du Centre.

Les deux policières, qui se présenteraient comme « mari et épouse » dans leur cercle privé, sont désormais au cœur d’une affaire qui pourrait avoir des conséquences disciplinaires et judiciaires.

L’influenceuse Cynthia Fiangan, elle-même connue pour avoir été victime d’une fuite de vidéos intimes en 2022, n’a pas manqué de réagir avec sarcasme sur Facebook.

« J’ai toujours dit que les filles qui me critiquent en commentaire font des choses qui nous dépassent. Voici que tout éclate maintenant. Chacun fait sa part sans bruit. Deux policières se frottent dans le bureau du commissaire, devant la photo du président. Elles doivent aller en prison aussi », a-t-elle écrit.

Puis, avec une touche d’humour provocateur, elle a ajouté : « La noire là, faut qu’on fasse un feat. Une ancienne waka. »

Si l’homosexualité n’est pas explicitement criminalisée dans le code pénal camerounais, les actes « contre-nature » peuvent être poursuivis. Par ailleurs, le règlement intérieur de la police nationale interdit tout comportement susceptible de porter atteinte à l’image de l’institution.

Des sources proches de la hiérarchie policière indiquent qu’une enquête interne a été ouverte. Les deux femmes pourraient faire face à des sanctions administratives, voire à des poursuites judiciaires si l’enquête confirme que la vidéo a été tournée dans un lieu de service.

Au-delà du scandale, cette affaire relance le débat sur la moralité dans les institutions publiques et l’hypocrisie sociale. Alors que certains condamnent fermement ces actes, d’autres soulignent que la vie privée des individus ne devrait pas être exposée de la sorte.

« Le vrai problème n’est pas ce que font ces femmes entre elles, mais le fait que cela ait été filmé et diffusé sans leur consentement », commente un militant des droits humains sous couvert d’anonymat.

Entre outrage moral, questions sur la vie privée et responsabilité professionnelle, cette affaire risque de faire couler beaucoup d’encre. Une chose est sûre : dans un pays où les valeurs conservatrices restent dominantes, ce scandale aura des répercussions, tant sur le plan judiciaire que médiatique.