Sextape/ Cynthia jetée à Kodengui : des hauts fonctionnaires désormais dans le viseur

C’est le dernier rebondissement dans l’affaire de sextape qui secoue le Cameroun depuis plusieurs semaines. Les dernières informations font état de l’envoie imminente de la jeune Christelle Atangana alias Chocolat Mer en Prison. A l’heure où nous mettons en ligne ce texte, elle a plus de chance de dormir cette nuit dans une cellule de Kodengui. Mais ce traitement ne fait pas l’unanimité. Certaines voix s’élèvent pour demander sa libération. Mieux, d’autres comme le militant du MRC Armand Noutack II milite plutôt pour l’arrestation des hauts fonctionnaires qui font la promotion des influenceuses.



Avant d'envoyer la petite là à Kodengui, le gouvernement doit d'abord punir les hauts fonctionnaires qui ont fait la promotion des influenceuses en les invitant ici aux frais du contribuable.

On avait débloqué des fonds pour 3 individus dont je cherche encore l'apport pour le succès de la récente Can en vain , leur seul exploit c'était de s'être AUSSI exhibées nues sur les réseaux sociaux.
Le gouvernement a donc sa part de responsabilité dans cette dérive de la jeunesse.
Pour donner le véritable exemple, on punit par le haut et non par le bas .
Reconnaissons aussi que par notre attitude, nous encourageons sans parfois le savoir ces déviances,

sinon comment comprendre qu'une fois sa page officielle ouverte , la jeune demoiselle en question avait déjà des milliers d'abonnés parmi lesquels des parents, des enseignants, et même des militants du changement, avait eu des reportages télés à sa gloire, a vu sa mère bombardée sous le feu des projecteurs par une certaine télévision ?

C'est à croire que les camerounais ont un penchant pour le vice , pour le di able.
SOYONS LE CHANGEMENT QUE NOUS VOULONS.

Il faut sanctionner par le haut , des p u t e s ont été invitées ici avec notre argent , jusqu'ici personne pour assumer leur bilan , il paraît qu'une d'entre elles était là pour faire ma promotion de son bois bandé auprès des hauts fonctionnaires.
Notre pays se meurt sous nos yeux.

AN II digne fils des ancêtres Bamougoum.