Sexe, débauche et fortune : un homme libère des vérités crues sur Marlène Emvoutou

Caddy Marlène Patience Emvoutou Aka'a est critiquée partout sur le territoire. L’ancienne présidente de la ligue régionale du football du Sud Cameroun et aussi ancienne patronne de la ligue départementale du Dja et Lobo se ferait passer pour quelqu’un qu’elle n’est pas.

Marlène se réclame une personnalité influente sans réunir les conditions minimums et des citoyens francs se chargent de lui faire descendre du piédestal sur lequel elle s’auto place. Emvoutou a eu le malheur d’être renvoyée récemment du domicile loué à Yaoundé, avec des images qui ont fait le tour du monde.

L’activiste Jacques Jorel Zang lui conseille de réfléchir par rapport à sa vie : « Patience Emvoutou, au lieu de jouer la parvenue sur les réseaux sociaux tu ferais mieux de chercher à te construire "un chez toi" au Cameroun car tu auras beau essayer de te faire passer pour une grande dame mais il n'en demeure pas moins que c'est bien toi qui squattais chez une femme de ton village et qui t'a mise à la porte en mondovision comme un vieux slip troué et usé ».

En réalité jusqu’ici Marlène Emvoutou continue de tout nier. Elle affirme ne pas devoir d’argent de loyer à cette propriétaire de maison. L’ancienne dirigeante sportive montre à tous ceux qui veulent le voir des signes de son opulence.

« Ngue "j'occupais une suite à un million de francs la nuitée". Tu penses vouloir prouver quoi à qui exactement avec une telle attitude ? Les vraies pu.tes dorment dans les mêmes suites que toi et même plus hight que celle que tu montres mais ont des immeubles et des entreprises à leurs noms », enchaîne Zang.

La même personne ajoute également que « ta part de piment là même est comment jusqu'à on te chasse pour loyers impayés. Quand on est sans domicile fixe comme toi on fait profil bas le temps que les gens t'oublient un peu ».

« Au moins tu as été intelligente de ne pas aller t'humilier de nouveau à Vision 4 car quand on squatte chez autrui, on ravale sa honte. Tes "petites sœurs" du Cameroun de votre association de "influenceuses" que tu aimes tant insulter ici sur la même toile sont au moins "propriétaires" ou "locataires" de grandes villas quelque part donc soit humble et va plutôt prendre des cours chez elles sur comment valoriser son piment auprès des clients », termine Jacques Jorel Zang.