Il y a plusieurs jours maintenant, la nouvelle de l'élève qui couche avec son enseignante a commencé par circuler abondamment. Dans la foulée, des images sont sorties pour étayer les faits. Certaines sources ont parlé de la République démocratique du Congo (RDC) et d'autres ont indiqué que c'est en Afrique du Sud que la situation s'est produite. Un mélange d'informations entendues ici et là qui n'enlèvent rien à ce qui s'est passé.

L'élève est connu pour être très jeune, un lycéen qui sait bien prendre soin de lui et qualifié comme l'un des plus beaux de l'établissement. Le point un peu curieux, c'est que les deux personnes qu'on voit sur les photos publiées sur les réseaux sociaux et légendées comme étant les auteurs de la sextape fuitée sont différentes de celles qu'on voit dans la vidéo qui circule sur la toile.

Alors, s'agit-il des mêmes personnes. Le lycéen, donné comme le jeune audacieux qui écarte souvent les cuisses de son enseignante, fréquente en Afrique du Sud et non en RDC, avons-nous su après investigation. Il affirme en effet que ce n'est pas lui dans la vidéo qui est partagé dans les différents groupes et jure qu'il est victime de sabotage.

À travers les réseaux sociaux, Flexy Ofentse, puisque c'est de lui qu'il s'agit, dévoile que le fait qu'il soit au centre de l'attention à cause de fausses informations le blesse profondément.

« Comment peut-on inventer de telles choses ? Non, ce que vous faites est vraiment mal. Je ne sais pas quoi faire pour le moment. Au début, c'était drôle, mais je n'en peux plus. Les gens inventent des choses juste par méchanceté et c'est triste », condamne Flexy.

Ce qui se raconte serait donc faux. Flexy n'est pas celui qu'on voit sur les images. Il ne connait pas la dame qui prend du plaisir dans la vidéo. C'est avec un autre jeune qu'on n'a pas encore réussi à identifier qu'elle s'envoie en l'air.

Cette sortie devrait un peu calmer les ardeurs et commencer par sortir le Sudafricain de problème. Les bruits courent que l'enseignante est aux mains des autorités judiciaires et est écartée de l'établissement.

Sur Facebook, Flexy totalise et se décrit comme « un petit garçon qui essaie de se construire une vie ». Il vit à Pretoria.