Brenda Biya n'arrêtera jamais de choquer le monde. La fille du président de la République, Paul Biya, n'aime pas faire les choses dans une totale discrétion. Le bruit, la démonstration et brûler la chandelle par les deux bouts, c'est son truc à elle. Le membre de l'une des familles les plus importantes du pays et même de l'Afrique s'est à nouveau livré à une scène de débauche.

Ainsi que le disent les rumeurs qui courent déjà depuis plusieurs heures, Brenda Biya et une de ses partenaires intimes, avec qui elle est passée à l'acte s3xuel, se retrouvent sur les réseaux sociaux. Par quel moyen, Brenda Biya a posté la vidéo elle-même sur son compte Instagram dénommé King Nasty.

Que cherchait à prouver Anastasie Brenda Biya Eyenga (nom complet de Brenda) si ce n'est qu'elle est très active sur le plan de la sexualité et qu'elle n'a pas peur des représailles qui pourraient être réservées à une autre personne dans la même situation qui n'aurait pas pour patronyme « Biya ».

Brenda Biya ne fait rien en cachette. Il y a plusieurs mois maintenant, elle a fait son coming out, confirmant à tous ses compatriotes et aux observateurs du monde entier qu'elle est attachée aux femmes et n'a aucune envie particulière vis-à-vis des hommes.

La nouvelle vidéo, la énième publiée et relayée sans filtre sur le blog de N'zui Manto le célèbre lanceur d'alerte, choque d'autant plus que Brenda Biya et sa partenaire ont décidé de ne rien cacher du tout. Caresses intenses, pénétrations avec le doigt et ensuite un outil prenant la forme de l'appareil tendu de l'homme, etc., tout y passe, filmé avec vraisemblablement le téléphone portable de Brenda Biya.

Selon plusieurs observateurs, tout ne serait que de la distraction orchestrée par la famille présidentielle pour détourner un peu les attentions. Cette diversion créée serait en fait un moyen d'amener les Camerounais à parler plus de la sextape disponible sur la toile, plutôt que de la situation tendue actuellement constatable dans le pays après le vote du 12 octobre dernier.

En réalité, Issa Tchiroma aurait gagné, mais le régime en place ferait tout pour lui arracher son droit de présider, ce qui laisse de la place à des affrontements entre civils et forces de l'ordre qui empêchent les frustrés de détruire et de passer outre les règles de sécurité établies.