Le monsieur sort souvent après le travail avec ses collègues. Il y a un bar qu’il affectionne particulièrement à quelques rues de son appart. Il y retrouve souvent quelques amis d'enfance, et également, Nina, la serveuse. Entre Nina et lui, les choses ont fini par prendre une allure très sexuelle.

Ah Nina, la belle Nina. Elle m’a fait un effet de dingue dès que je l’ai vue. Grande, la peau bien noire, dont la particularité est de ne s’habiller qu’avec du cuir et de se mettre des vernis à ongle improbables. Mes potes la charriaient beaucoup dessus, mais moi, je lui ai juste dit, une fois, « ton style est dingue, ne change pas ». Et je crois bien que cela a fait de l'effet.

Un soir, elle m’a laissé un petit mot avec son numéro de téléphone au moment où j’allais payer les consommations, et à ce moment-là, mon cœur s’est emballé. J’ai hésité longtemps avant de lui envoyer un premier texto, ne sachant pas comment je devais le tourner. C’est rare que je prenne autant de pincettes avec une fille, j’en étais déboussolé.

Bref, j’ai fini par lui envoyer un message et quelques jours après, elle était chez moi, rayonnante, le même style qu'au bar. J’avais énormément de désir pour elle, j’aurais préféré prendre mon temps, ne pas passer toute de suite à l’action, faire connaissance…

J’avais choisi un dîner, mais cela n’a pas été nécessaire, elle m’a embrassé au bout de quelques minutes. Avec ses petits yeux ronds de chats, elle m’a avoué qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis longtemps. « Ma ch@tte est vraiment toute serrée, je suis désolée, j’ai trop envie de toi ». Qui résisterait à de pareils miaulements ?

J’ai baissé mon pantalon, je b@ndais déjà. Je lui ai demandé s’il lui plaisait. Elle m’a regardé en haussant les yeux, manifestement, elle trouvait ma question complètement conne. Et je dois bien lui donner raison. Je n’ai plus dit un mot. Quand j’ai ouvert son blouson, j’ai découvert deux piercings brillants magnifiques, que j’ai titillé bien sûr.

Elle rigolait en se laissant faire. Ses tét0ns étaient délicats et très mignons. Et le corps qui les portaient fièrement était magnifique, mince, élancé. Éblouissant. Elle s'abandonnait à moi. Elle m’a sucé comme une reine, c'était plus fort que moi, je me suis répandu dans sa bouche.

Ça se voyait qu'elle était déçue, elle a refermé son blouson et s'est retournée. Je l'ai immédiatement plaquée, à cheval, sur la table basse la rassurant que j'étais capable de continuer. J'ai levé sa courte jupe et poussé de côté la ficelle qui lui servait de sous-vêtements. J'ai légèrement écarté ses genoux, puis d'un mouvement brusque, je lui enfonçais le bâton tout au fond d’elle.

D'abord mes mouvements étaient lents, puis j’accélérais au fur et à mesure jusqu'à ce qu'elle hurle de plaisir. Sans prévenir, elle me repoussa en arrière et je m'écroulais sur le dos. Ensuite elle me bondit dessus comme une fauve affamée. Elle se mit à califourchon sur moi, pris mon bâton et l’inséra délicatement dans sa fente toute humide. Sa chevauchée me fit fantasmer sur les valkyries chevauchant leurs puissants étalons. Je ne pensais qu'à tenir la distance. Je sentais un orgasme qui montait en elle, elle se tortillais de plus en plus. C’était indescriptible.