Actualités of Monday, 23 June 2025
Source: www.camerounweb.com
Le journaliste Paul Daizy vient de faire des révélations surprenantes sur une sorte de complot pas du tout honorable, ourdi par des Camerounais contre Samuel Eto'o.
Le journaliste fait sans doute allusion aux révélations relatives aux accusations de détournement de fonds de la Fécafoot par Samuel Eto'o.
"Un marché honteux a donc été conclu à Obili dans le domicile d'un joueur. Une transaction glaciale, silencieuse, mais lourde de conséquences.
Là, dans ce quartier populaire de Yaoundé, un international camerounais a payé pour abattre Samuel Eto’o. Oui, Un Lion, Un fils... Quelqu’un qu’Eto’o a défendu hier, soutenu et inspiré.
Il a sorti l’argent. Il a financé le piège. Il a allumé l’incendie.
Le deal est sordide.
Deux anciens employés de la Fécafoot, frustrés, amers, habités par la rancune, s’associent. Un journaliste bien connu et un certain Mpondi.
Voici comment a été orchestrée cette nouvelle tentative de déstabilisation contre Samuel Eto’o, président de la Fédération Camerounaise de Football.
Nous avons fait un recoupement pour deux choses:
1. Prouver que la confiance mal placée peut se transformer en arme fatale, surtout lorsqu’elle est offerte à des hommes sans honneur.
2. Blanchir Benoît Angbwa, dont le nom a été cité à tort dans cette affaire.
Lundi dernier, deux ex-employés de la FECAFOOT, se présentant comme des “fidèles” mais désormais tapis dans l’ombre, décident de faire chanter Samuel Eto’o. Par des circuits détournés, ils tentent de l'amener à négocier avec eux.
Réponse d’Eto’o ? “Je n’ai rien à me reprocher.”
Face à cette fin de non-recevoir, les deux hommes, le journaliste bien connu et Mpondi, changent de stratégie. Ils décident de “vendre le coup” à un Lion Indomptable, un international camerounais. Le rendez-vous est fixé pour mardi soir à Obili.
Les deux comploteurs, galvanisés par leurs ambitions personnelles, exposent leur plan au joueur et fixent le tarif pour trahir Eto’o. L’international est partant, il avance l’argent.
Le butin est aussitôt partagé. Une partie est allouée au financement d’un réseau de diffamation bien rodé : des influenceurs et autres comptes ciblés sur les réseaux sociaux sont mobilisés. Ils reçoivent la promesse d’un “traitement” régulier jusqu’à ce qu’Eto’o soit rendu inéligible pour un second mandat à la tête de la Fécafoot.
La machine est lancée. Le timing est parfait, dans le sillage de la suspension de Geremi Njitap, un autre épisode qui a déjà échauffé l’opinion publique.
L’objectif est donc de démolir Eto’o, coûte que coûte. Au moyen comme d'habitude de tout inventer, tout salir. Et voilà comment une opération minable, alimentée par la trahison et le ressentiment, a tenté de transformer un homme en cible des hiboux".