Actualités of Wednesday, 30 July 2025

Source: www.camerounweb.com

Partouzes dans les bureaux: gros sandale sexuelle à la Police nationale camerounaise

Des policières filmées en plein ébat Des policières filmées en plein ébat

Au Cameroun, certains bureaux de la police ne servent plus à faire respecter la loi, mais à explorer des talents libidineux cachés très bien cachés. Trois hauts cadres de la police – deux femmes et un homme – se sont livrés à une séance d’acrobaties sexuelles dignes d’un casting pour Kamasutra : édition administrative. Le tout filmé, bien sûr. On n’est jamais trop prudent avec les souvenirs.

La scène se déroule le vendredi 25 juin 2025, dans un bureau officiel transformé pour l’occasion en plateau de tournage amateur. En première position – sans mauvais jeu de mots – on retrouve le commissaire divisionnaire Josué OSSOMO, patron de la police dans la région du Centre. Chef d’orchestre de cette symphonie charnelle, il dirige l’action depuis son fauteuil, sous l’œil désabusé du portrait de Paul Biya accroché au mur, témoin muet d’une République qui se décompose entre deux gémissements.

Petit rappel : c’est ce même OSSOMO qui, il y a peu, rédigeait une note confidentielle demandant l’infiltration des milieux de l’opposition. Visiblement, il a confondu infiltration politique et pénétration tout court.

À ses côtés, l’officière de police Christelle EBOA (cf deuxième et troisième image), en service au commissariat central Nº1 de Yaoundé. Pourtant mariée, elle est manifestement très engagée dans cette aventure sexuelle alors que son mari sait qu'elle est au boulot. Avec la grâce d’une star du X et l’enthousiasme d’une recrue motivée, elle se donne en spectacle sans fausse pudeur. C’est elle qui reçoit les attentions buccales de sa collègue pendant que des accessoires pour adultes (sextoy) viennent pimenter la scène. Christelle a deux tatouages au corps. L'un sur la cuisse et l'autre sur la poitrine. Un sextoy, et une passion pour la caméra : on est loin du manuel de procédure policière.

La troisième protagoniste, une autre commissaire de police elle aussi mariée – encore non identifiée – joue la doublure langue et main. Teint clair, coupe cambrée et callipyge, fessier rebondi… une combinaison physique qui ferait saliver même AMOUGOU BELINGA depuis sa cellule à Kondengui, où le savon reste le seul partenaire de confiance.

Pendant ce temps, OSSOMO filme tout ça comme un Spielberg de sous-préfecture. L’équipement ? Une caméra posée sur le bureau, à deux pas du dossier “Sécurité nationale”. Ironie ultime : le chef régional de la sûreté nationale s’auto-saborde par… excès de zèle sous la ceinture.

Les images ont fait l’effet d’un coup de tonnerre dans la “Maison bleue”, où l’hypocrisie institutionnelle tourne à plein régime : certains simulent l’indignation, pendant que d’autres cherchent discrètement à récupérer les rushs, histoire de compléter leur collection privée.

Face au scandale, on a parachuté le commissaire divisionnaire ABENA Armand pour essayer d’essuyer les traces – de honte, s’entend. Mais soyons lucides : ce n’est pas juste une affaire de sexe filmé. C’est le symptôme criant d’un système où l’autorité, au lieu de se tenir droite, préfère se mettre à quatre pattes devant la décence.

Conclusion ? Quand les garants de l’ordre se déshabillent au bureau, c’est la République qu’ils violent. Et pendant ce temps, la sécurité des citoyens, elle, reste… non pénétrée.