Actualités of Friday, 1 August 2025

Source: www.camerounweb.com

Partouze dans le bureau : bonne nouvelle pour une des policières impliquées

Scandale au sein de la police Scandale au sein de la police

La police est au fond du trou. Des éléments censés maintenir l’ordre sont plutôt les mêmes qui créent du désordre dans la capitale depuis quelques jours. Des femmes bien identifiées comme étant des membres de la police se sont donné rendez-vous dans un bureau, non pas pour parcourir des dossiers, mais pour fouiller dans leurs entrejambes.

Le commissaire divisionnaire Josué Ossomo assurait jusqu’ici l’intérim au poste de délégué régional de la sûreté nationale pour la région du Centre. Il a lui aussi participé à la "fête".

Ossomo, lorsque les vidéos sont devenues virales, a été tout simplement relevé de ses fonctions. C’est le commissaire qui s’est chargé de filmer les ébats de ses collègues sur le lieu du travail.

Parmi les personnes impliquées, on a l’officier de police de deuxième grade, Christelle Eboa, une commissaire de police, ainsi que d’autres individus dont l’identité est en train d’être divulgué progressivement grâce à des enquête.

Qu’en est-il alors de cette dame (à l’image) dont on dit qu’elle est également impliquée dans le scandale qui provoque présentement une onde au sein de l’opinion publique et révèle l’ampleur de telles pratiques visiblement répandues dans les rangs de la police camerounaise ? A-t-on tout simplement voulu l’impliquer à tort dans l’affaire ?

Selon nos recoupements, elle n’a aucun lien, ni direct ou indirect, avec l’affaire de la sextape impliquant les cadres de la police. Avec les vidéos en circulation, une confusion a été faite entre son image et celle d’une personne qui est actuellement placée en garde à vue et interrogée par la police des polices à Yaoundé, nous confirme-t-on.

Voilà qui devrait faire taire toutes les rumeurs à son égard et laver son nom ou sauver sa réputation. L’affaire des images à caractère sexuel fait la Une des médias et est longuement débattue sur la toile. Comment comprendre que des représentants de la loi soient ceux qui la méprisent, transformant le lieu de travail entretenu par les frais du contribuable en scène de partouze.