Le scandale dans lequel est plongée la police ne laisse personne indifférent. Plusieurs femmes et un commissaire sont les Camerounais les plus célèbres du moment. Dans un bureau de l’administration, lieu censé être pour le travail, ils tournent, ce qu’on peut clairement appeler sans risque de se tromper, des vidéos X. Qui de mieux que le lanceur d’alerte N’zui Manto la panthère pour décortiquer les faits dans son ton souvent moqueur.
Piment info : police XXL. Après plusieurs semaines de silence, la rubrique préférée « Piment info » marque bruyamment son retour ce jour par un scandale qui sans jeux de mots cisaille la police camerounaise depuis Yaoundé où des policières ont troqué bérets et képis contre une paire de ciseaux. Faisons économie de notre salive et pénétrons en douceur la profondeur du sujet.
Une vingtaine de jours après le 1er janvier 2025, une étrange fête a lieu dans les bureaux du commissaire divisionnaire Josué Ossomo, patron de la police dans la région du Centre. Caméra en main, le commissaire devenu réalisateur pour la circonstance, immortalise depuis son fauteuil l’officière de police Christelle Eboa serpentant sous le bas-ventre d’une autre collègue.
Christelle Eboa, le corps svelte et la peau d’ébène, s’ôte son képi et sa chemise bleue laissant apparaître ses formes rectilignes. Une paire de s2ins sanctionnée à son extrémité par des boulettes spongieuses noires, flotte dans les airs tel un astronaute en apesanteur. D’abord assise, puis rampant à quatre pattes, la policière trouve le confort près d’une collègue au bassin inondée d’une masse fessière considérable.
Christelle Eboa, fille du pasteur Eboa, se met alors sur ses genoux pas pour invoquer le seigneur, mais tondre à coup de langue le jardin herbeux de sa copine dégustant doublement à la fois le plaisir de ses entrailles et du verre de whisky desséchant sa gorge. Les langues se faufilent, les doigts s’infiltrent, les lèvres mouillées se racolent jusqu’à l’intervention d’un gode. Le même que celui de Shakiro.
Le commissaire divisionnaire Ossomo ne porte pas seulement la caméra. Nu, Il porte également son troisième pied en attente du moment propice pour verbaliser son fantasme en présence du chef d’état Paul Biya, témoin de la scène depuis sa photo pendue au mur.