Dans la capitale Yaoundé, l’heure est à la consternation. Une vidéo censée être privée s’est retrouvée sur les réseaux sociaux. Une chose est sûre, ce n’est pas le jeune homme qui s’est offert contre un bien matériel qui a publié les images humiliantes.

Les faits sont pointus, le citoyen, amoureux du téléphone luxueux, a pris tout seul la décision de coucher avec le détenteur du portable. Celui-ci lui a exigé un moment intime lors d’une soirée joyeuse, une condition à remplir pour entrer en possession du téléphone qu’on identifie être un iPhone 16.

Le rendez-vous a très vite été organisé. Le jeune désireux d’utiliser le téléphone à la mode s’est pointé, comme prévu. Son vis-à-vis aussi, rien ne pouvait lui faire manquer ce rendez-vous qui s’annonçait déjà particulier et plein de suspens.

Les deux, face-à-face, n’ont pas eu beaucoup de divergences avant de se mettre complètement à poil. Tout le monde savait déjà pourquoi il était venu. Chacun voulait repartir avec quelque chose qui lui plaisait assez.

Sur consentement, ils décidèrent de filmer la séance de plaisir. Avec des lunettes sur les yeux, l’homme – visiblement jeune aussi – ayant promis le téléphone à son homologue, donnait des coups de rein violents qui peuvent faire mal à tout le monde. La vidéo est assez saisissante, elle fait même s’inquiéter pour le compatriote qui encaissait les coups, non pas sans crier.

Une analyste vite faite permet de se rendre compte que le jeune ne serait pas à sa première tentative. L’idée du rendez-vous, son objet, les positions adoptées, l’expression corporelle, les regards jetés, les signes indiscrets, etc. tout indique qu’il est un habitué. Les deux d’ailleurs semblent très bien maîtriser le sujet comme on peut s’en rendre compte en voyant la vidéo dans les plateformes qui l’ont publiée avant de la supprimer pour certaines pour cause de respect de la vie privée des concernés.

Le visage des deux jeunes se fait voir clairement, ils ont été reconnus. Voulaient-ils une telle chose ou s’agit-il d’une fuite regrettable, les questions fusent de partout. L’affaire défraie actuellement la chronique, le monde s’étonne que la jeunesse veuille avoir une vie facile, sans travailler pour obtenir les choses dont elle rêve.