Actualités of Friday, 9 May 2025

Source: www.camerounweb.com

Nudes de Calixthe Beyala: la romancière brise le silence sans honte

Calixthe Beyala Calixthe Beyala

La toile est en ébullition depuis quelques jours, suite à des révélations selon lesquelles des nudes de la romancières Calixthe Beyala sont entre les mains de Samuel Mvondo Ayolo qui peut les diffuser à n'importe quel moment.

Calixthe Beyala a officiellement réagi par rapport aux informations relatives à ses nudes dont disposeraient des collaborateurs du président de la République.

Sereinement, la romancière dit qu'il met au défi ceux qui donnent ces informations de publier ses nudes:

"Quelqu'un a-t-il trouvé mes nudes dont les soutiens d'Amougou Belinga qui se trouvent au sommet de l'état ont fait croire aux camerounais, l'existence il y a deux ans ? Et les preuves des quinze millions que je toucherais chaque mois dont il inonde les oreilles de ses mercenaires sont où ? Publiez-les vite, s'il vous plait, pour qu'on sorte des divagations! Monsieur de la présidence, J'ai dit dans un Voice que vous racontiez des âneries. Je persiste et signe !
Pour le reste, Modjang François Xavier, c'est une réalité: je n'aime pas les vieux! Je n'aime pas les gros ! Je n'aime pas les pauvres! Je ne veux pas avoir pour compagnon un double sim! Je n'ai aucune admiration pour ceux qui trainaillent en Occident sans but, qui sont souvent des diplômés, mais de gros incultes! Un écrivain reconnaît toujours les mots et styles, dès qu'il vous a lu une seule fois. Que ces quelques frustrés qui signent des torchons anonymes pour faire plaisir à leur patron, sachent tout le mépris que j'ai pour eux ! Qu'ils Sachent que j'ai découvert l'identité de nombre d'entre eux. Qu'ils sachent que si j'ai refoulé leur Grand Patron si Proprement sale, cela signifie qu'eux, petits tchinda, qui m'ont proclamée leur amour n'ont aucune chance !
Les créateurs, sont de très grands. Leur folie est votre sagesse. Il ne sert à rien de continuer à servir à vos maigres followers, vos inepties indigestes",
écrit Calixthe Beyala.