'Ne comptons pas sur cette presse pour nous libérer du régime': Valère Béssala crie sur les journalistes

La presse camerounaise est très malade, selon l'homme politique Valère Bessala. Dans une publication, Bessala dit après avoir lu les presses qui ont traité l'actualité relative au combat de Francis N'Gannou, que les journalistes camerounais reçoivent beaucoup d'argent pour tronquer les vérités.

Ils sont achetables et on les achète tout le temps. Il ne faut pas compter sur eux pour libérer le Cameroun du régime Biya.


"Quand la corruption n'est pas passée par là … a presse est unanime !
Mon commentaire : Si c'était le bonheur du Peuple qui était en question... :

- mal gouvernance;

- longévité au pouvoir;

- détournements;

- mauvaises route;

- prévarication;

- tribalisme;

- Ots/Ota;

- crimes rituels;

- Martinez ZOGO ;

- Lignes 94, 57, 65;

- etc...,

l'on allait assister à un CLIVAGE des plus étonnants et offensants...avec des titres dictés...et repris en boucle dans plusieurs parutions différentes... pour montrer...que TOUT va bien... comme dans le meilleur des mondes...au Cameroun.

Ces patrons de presse allaient nous prouver...dans leurs Unes...que ceux qui nous dirigent sont les meilleurs du Monde...que c'est le Peuple qui ne les mérite pas...que c'est le Peuple qui est FOU.

LA LEÇON À RETENIR: Ne comptons pas sur cette Presse...pour nous libérer de ce Régime!"