L'émotion est à son comble. Le récit fait froid dans le dos. La voix perfore les cœurs. Le ton est évocateur de la douleur qui déchire cette dame très affligée. Son fils qu'elle a enfanté avec douleur et par césarienne a été arraché cruellement et innocemment à la vie à la fine fleur de l'âge par un monstre qui est resté indifférent face à ses supplications.

Le seul crime de Mathis c'est d'avoir été le fils de Paulin Ouandji avec qui son bourreau Dagobert Nwafo a eu une altercation dans un débit de boisson.

Dans ce reportage de la CRTV, on voit bien le couteau employé par Dagobert Nwafo pour parvenir à son acte odieux et infanticide. Le type de poignard utilisé par ce monstre en dit long. On dirait un boucher. Ce type d'arme blanche a une seule mission : tuer, tuer et tuer.

Les parties ciblées renseignent suffisamment sur la personne de Dagobert Nwafo. Pas une fois, pas deux fois, mais plusieurs fois, il a flanqué le poignard que vous voyez dans les parties comme le cou de cet enfant de 6 ans qui rêvait d'être journaliste. Les pleurs de Mathis n'ont rien dit à Nwafo. Il a continué sa sale besogne jusqu'à ce que irréparable s'en suive. Sa mère est inconsolable.

Que la justice soit intransigeante avec ce criminel.