Mathis était très différent. Malgré son jeune âge, il faisait déjà les choses comme un grand. Les adultes qui le côtoyaient voyaient en lui des talents que n'avaient pas ses pairs. Quelques-uns de ses atouts donnés dans le post suivant d'un dénonciateur du crime commis par Nwafo, le père de Lydol.
« Nous ne lâchons rien tant que justice ne sera pas faite. Mathis était peut-être le futur président de la République du Cameroun.
Un enfant qui jouait déjà au journaliste à son très jeune âge avec ses camarades et enseignants pour vous dire que le petit était déjà éveillé pour son âge.
Même touché, il a eu la force de sortir de la maison pour crier à l'aide pour vous dire que l'enfant voulait vivre. Mais hélas.
Nous ne lâchons rien, car lâchez, c'est accepter que nos enfants soient les cibles des animaux et moi je dis non. Soit vous mettez Nwafo en taule au "kosovo", soit vous nous le livrez et on s'en occupe une bonne fois pour toute.
Mais ce qui est sûr et certain, c'est qu'on ne va pas laisser cette affaire finir comme cela », lit-on.