Actualités of Monday, 20 October 2025

Source: www.camerounweb.com

'Ma propre mère m'a envouté pour coucher avec moi'

La victime vit « douloureusement depuis quelques temps » et malgré son sourire, son air taquin cache tellement de regrets.

Je suis le second d'une fratrie de 5 enfants. Mes parents suffisamment aisés nous ont mis dans de bonnes écoles et nous n'avons jamais manqué de quoi que ce soit. Quand j'ai eu mon BACC, j'ai comme tout bachelier essayé plusieurs concours, certains à l'insu des parents.

Ils avaient pensé à m'inscrire dans un institut privé huppé de la ville de Yaoundé, mais moi je n'étais pas d'accord. Je ne pouvais pas les contredire ouvertement, je voulais essayer une vie solo dans ma chambre à moi seul. C'est comme cela que les résultats des concours commencent à sortir et heureusement, je réussis celui de la FMSP de Douala.

J'ai simulé une visite à une tante afin de pouvoir faire l'oral. Je m'en souviens encore comme si c'était hier. Le jour que les admissions sont sorties et que c'était concluant, je suis rentré tout heureux pour annoncer la nouvelle à ma famille. Mon père était tellement content, mes frères avec. Seule ma mère n'a pas manifesté de joie, au contraire, elle s'est levée pour aller dans la chambre. Mon père m'a dit de ne pas la calculer, que c'est la tristesse de me voir quitter la maison qui agissait.

Le jour de mon départ, ma mère a fait un scandale incompréhensible en disant qu'elle ne voulait pas que je parte. Elle est allée jusqu'à s'agripper à mon pantalon pour m'empêcher d'entrer dans le véhicule de papa avec qui je partais à Douala. Il a fallu que tata Lunie (la grande sœur de papa) la menace et la gronde pour qu'elle puisse me laisser partir. Cela nous peinait car on voyait l'amour d'une mère pour son fils. Les études se passaient relativement bien, mais côté sentiment, c'était le désert.

Chaque fois que je présentais une fille, ça finissait toujours en chaos. Ma mère trouvait toujours un point négatif. La dernière qui avait résisté avait failli finir aveugle. Ce que ma mère a fait à cette fille était au-delà du simple refus de tribu. Elle est allée jusqu'à lui verser de l'eau bouillante sur le corps. Papa a dû user de ses contacts pour que maman ne fasse pas la prison car la famille de cette copine avait porté plainte. Jusqu'à ma sortie de la faculté de médecine, je n'avais plus emmené une fille chez nous.

Un jour en jouant au Ludo avec mes frères pendant les grandes vacances, nous sommes tombés sur le sujet de maman et notre dernière petite sœur qui a lancé une phrase qui était tellement absurde. Elle a dit : « Hermès, maman se comporte avec toi comme si tu étais son mari, elle est jalouse ». Tout le monde en a ri et moi plus.

Après ma sortie de l'école, j'ai été affecté dans un service central au ministère de la Santé et évidemment je devais revenir sur Yaoundé. Maman a encore fait une autre crise quand elle s'est rendu compte que je ne comptais pas rentrer à la maison familiale. Et donc pour la calmer, j'avais accepté que chaque matin et chaque soir, elle vienne chez moi pour veiller sur moi et m'apporter à manger. C'était comme ça qu'on fonctionnait. Un jour, un collègue m'a demandé si c'était ma mère ou la femme de mon père car il avait constaté selon lui qu'elle avait une façon particulière de me regarder. Je n'ai pas apprécié son sous-entendu et je le lui ai fait savoir. Il s'en est excusé.

Quelques 4 mois après mon installation, j'ai commencé à avoir des couches de nuit. Déjà faut dire que je n'avais aucune relation amoureuse, ni même sexuelle. À peine je commençais avec une fille que ça se cassait : ça ne tenait pas. Curieusement quand j'avais les couches de nuit, c'est toujours ma mère que je voyais en rêve. Et chaque fois après ces couches de nuit, ma mère m'appelait toujours, peu importe l'heure. J'en ai parlé avec elle et elle m'a expliqué que c'était une ruse du diable et que probablement c'était l'œuvre de tante Lunie (les deux ne s'entendaient pas). Elle a même commencé à jeûner pour ça.

Un après-midi, maman est venue me donner à manger : c'était le poulet DG. Tellement j'avais bien mangé que je me suis lourdement endormi sur le sofa. Dans le sommeil, j'ai commencé à être victime d'une couche de nuit. Il était 17h. Ma femme de nuit a mis mon p&nis dans sa bouche. On ne m'avait jamais fait ça avant, c'était agréable à en mourir. Par la suite, j'ai senti comment ma verge se frayait un chemin dans une cave bien humide et à peine je voulais mieux me concentrer que les chevauchements ont commencé.

Je ressentais le plaisir jusqu'à mes os, je nageais dans l'extase. Après donc plus de 5 minutes de danse perpendiculaire dans ce rêve, j'ai poussé le soupir du plaisir au même moment que ma femme de nuit qui elle a tellement crié. Seulement dans ses cris, j'ai entendu : « C'était trop bon, tu sais me prendre. C'était réel ça, pas en rêve ».

Je me suis figé car elle était la seule personne à m'appeler ainsi. J'ai ouvert les yeux et l'image que j'ai vue était la plus terrifiante de ma vie : ma mère sur moi en train de savourer les dernières secondes de sa jouissance.