Les Blancs s'en moquaient : ces nouvelles images humiliantes du président qui salissent le pays

La vieillesse est un passage obligatoire par lequel tout Homme est appelé à passer, même les présidents et les rois suprêmes. Personne n’y échappe. Il est donné de façon régulière de constater des leaders physiquement mal en point mais qui se donnent autant de mal à conserver le pouvoir. Président un jour, président pour toujours, dit le dicton.

En Afrique et dans le monde, le chef de l’État Paul Biya est le plus vieux président en exercice. Avec son parti le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), il est arrivé au pouvoir en 1982 après Ahmadou Ahidjo que les citoyens n’oublieront pas de sitôt.

Depuis, Paul Biya règne sans partage. Les opposants sont emprisonnés, la presse locale est muselée, la corruption et les détournements de fonds sont légion, la justice est utilisée à tort et à travers pour des règlements de compte.

À quatre-vingt-dix (90) ans, Paul Biya ou le "vieux lion" est fatigué et n’arrive plus à marcher aisément. En public, il arrive des moments où il perd complètement la mémoire. Ses prises de paroles sont très surveillées et les observateurs guettent les moindres faux pas pour renforcer la thèse selon laquelle Paul Biya est dépassé par les évènements.

En l’état actuel des choses, tout laisse indiquer que le palais d’Etoudi s’est déjà préparé à voir le fils de Paul Biya, Emmanuel Franck Biya débarquer prochainement au pouvoir. Et peut-être que Paul Biya ne laisse pas tomber parce qu’ailleurs, il y a quelques-uns de ses homologues qu’il voit s’accrocher contre vents et marrées.

Ali Bongo Ondimba en fait partie. Le Gabonais né Alain-Bernard Bongo le 9 février 1959 (64 ans) à Brazzaville, est le président de la République depuis le 16 octobre 2009. Fils du président Omar Bongo, il fut ministre de la Défense de 1999 à 2009. Ses élections à la tête du pays sont fortement contestées par ses opposants.

Bien que moins âgé que Paul Biya, Ali Bongo Ondimba ressent déjà le poids de la vieillesse et de la maladie, comme nous le fait constater le lanceur d’alertes Shance Lion qui a eu accès à des images qui le prouvent : « Ali Bongo Ondimba est désormais "un assisté social" », écrit-il.

L’informateur camerounais ajoute qu’on « l'aide à descendre de la voiture (ça prend près d'une minute pour qu'il descende d'une voiture désormais), on l'aide à monter les marches, on arrête son dos pour qu'il ne tombe pas à la renverse ».

« Malgré tout cela il lui faut une canne, sans oublier qu'il a désormais les yeux à l'envers comme un mon.gole qui font en sorte qu'il ne voit plus très bien. Mais malgré tout ça-là Ali Bongo Ondimba et sa famille (notamment son épouse Sylvia) estiment que c'est lui le Gabonais le plus intelligent pour être à la tête du Gabon », ajoute Shance Lion.

C’est extrêmement curieux cette façon de vouloir s’éterniser au lieu de prendre une pause pour être près de sa famille et avoir les soins nécessaires pour vivre encore longtemps. Shance Lion est de ce même avis : « Peu importe les dégâts irréversibles sur son physique et pire sur son mental tout ce qui compte en fin de compte c'est que les Bongos restent au pouvoir quitte à préparer leur fils aîné pour la continuité ».

« Il fallait voir les gens du palais britannique en rire. Je ne sais même pas ce qu'il est allé faire là-bas. Au moins le nôtre a compris qu'il n'est plus apte donc mieux il se fait représenter. Quelle image donnons-nous à l'international », termine le lanceur d’alertes.