Des révélations explosives sont faites sur le candidat déclaré à la présidentielle 2025, Tony Smith. Elles portent les griffes d’Amadou Karima.
Ces derniers jours, un nom circule avec insistance dans le sillage des ambitions présidentielles : Tony Smith. Plaquettes léchées, storytelling calibré, photos professionnelles… L’opération de communication est bien rodée.
On veut nous vendre un homme providentiel, un « esprit brillant », diplômé des plus grandes institutions, familier des hautes sphères économiques mondiales, et - cerise sur le gâteau - proche de personnalités telles qu’Emmanuel Macron. Du rêve, à en faire pâlir les agences de publicité.
Mais la vérité, elle, n’a pas besoin de vernis. Tony Smith ne s’appelle pas Tony Smith. Il s’appelle Kaya Adam, né en 1983 à Kaélé, fils de feu Kaya Abel, ancien greffier et de Mapa Yendang. Ses frères sont Ousmane Kaya Alexis, Kaya Abdourahman, Kaya Dona Abel, Kaya Ahmadou, Kaya Hadjida. Tous sont vivants.
Le parcours scolaire de Tony Smith est interrompu avant la classe de 3e. L’école n’est certes pas l’unique voie du mérite, mais le mensonge ne saurait en être une alternative. Car ce que nous voyons là, ce n’est pas un homme d’avenir, mais un professionnel de l’illusion, qui maquille son passé pour s’offrir une légitimité qu’il n’a jamais acquise.
Envoyez un simple mail aux institutions qu’il cite dans son CV… Ce que le grand public ignore, c’est que Kaya Adam a vécu à Yaoundé chez son oncle Adam Kaya, puis à Douala au quartier Mboppi ancien Abattoir avant d’aller chez Me Alice Nkom, qui facilitera son départ pour le Canada, grâce à des arguments que l’on ne peut évoquer ici. Après un bref passage en France, il revient discrètement au pays.