Vous-êtes ici: AccueilActualités2017 08 09Article 418247

Actualités of Wednesday, 9 August 2017

Source: bareta.news

L'ONU prévient Biya des retombées de la crise anglophone

Archives Archives

Les Nations-Unies après avoir rencontré les spécialistes de communication chargés de l'image de la République à New York ont ??publié un mémoire de presse soulignant les points forts de leur réunion. Dans les faits saillants, l'ONU a appelé le gouvernement de Paul Biya à s'attaquer aux causes profondes des problèmes du «Cameroun anglophone».

Nous prenons particulièrement en compte le fait que c'est la première fois que l'ONU appelle officiellement le régime à s'attaquer à la CAUSE RÉGULIÈRE des problèmes dans les régions anglophones. BaretaNews comprend que la cause fondamentale du problème d'aujourd'hui au Cameroun anglophone a trait à la constitutionnalité entre l'union des deux Cameroun. Dans la langue diplomatique, l'ONU évite de tendre davantage l'atmosphère déjà tendue.

L'ONU est allé plus loin pour offrir ses bons offices et aider le gouvernement au dialogue inclusif pour résoudre ce problème. BaretaNews estime que la responsabilité de l'escalade de crise nous incombe. La racine du problème doit ètre traitée comme l'ONU l'a stipulé en présence de ses services. Il est évident que les fonctionnaires de la République qui sont venus à la rencontre aux Nations-Unies à New York l'ont fait du fait de l'offensive diplomatique de SCACUF qui a amené le gouvernement à envoyer des ministres à travers le monde comme des chiens haletants.

Alors que nous comprenons comment la diplomatie et les jeux de pouvoir fonctionnent sur la scène internationale, nous, BaretaNews, nous accueillons ce nouveau développement de l'ONU demandant au gouvernement d'aborder la racine du problème du Cameroun anglophone pour la première fois. L'ONU est consciente, mais cela nous amènera à repousser notre restauration. La solution finale pour aborder la cause principale grâce au dialogue avec l'aide des bons offices de l'ONU comme ils l'ont proposé ne sera qu'un RÉFÉRENDUM.

Par conséquent, les Camerounais Méridionaux aux États-Unis doivent maintenant se préparer à l'Assemblée générale des Nations-Unies en septembre pour donner à M. Biya l'une des visites les plus meurtrières jamais connues. Nous ne devons pas abandonner maintenant. La lutte entre dans la phase active de la Résistance.

L'énoncé complet de l'ONU est ci-dessous.
New York, États-Unis, 8 août 2017.

Lectures de la réunion du Secrétaire général adjoint avec une délégation dirigée par le Prof. Paul Ghogomu, Directeur du Cabinet du Premier Ministre du Cameroun.

1. Le 8 août, le Secrétaire général adjoint a rencontré une délégation dirigée par le Prof. Paul Ghogomu, Ministre et Directeur du Cabinet du Premier Ministre de la République du Cameroun. Ils ont discuté de la situation interne en République du Cameroun, en particulier dans les régions anglophones. Le Secrétaire général adjoint s'est félicité des efforts entrepris par le Gouvernement pour réduire les tensions et a souligné l'importance de renforcer les mesures de renforcement de la confiance, notamment en veillant à ce que la justice soit accordée à tous dans le respect des droits de l'homme et en notant que les responsables de la règle du droit doivent être tenus à une norme plus élevée.

2. Le Secrétaire général adjoint a également réitéré la volonté des Nations-Unies, par les bons offices du Représentant spécial du Secrétaire général pour l'Afrique Centrale et Chef du Bureau régional des Nations-Unies pour l'Afrique Centrale (UNOCA), M. François Louncény Fall et l'équipe des pays des Nations-Unies, afin de soutenir les efforts de dialogue inclusif pour résoudre les causes profondes des tensions dans les régions touchées.

3. Le Secrétaire général adjoint a félicité le Cameroun pour sa générosité vis-à-vis des réfugiés de la République centrafricaine et du Nigéria et a indiqué que les Nations-Unies attendent avec impatience de travailler avec le Cameroun, le Nigéria et le Tchad pour réintégrer les personnes concernées, en particulier les femmes, les jeunes et les enfants.

4. Le Secrétaire général adjoint et le Prof. Ghogomu ont également discuté de l'ordre du jour de 2030 et de la réforme du système de développement des Nations Unies, ainsi que de la situation dans la péninsule de Bakassi et de la lutte contre Boko Haram.