C'est l'histoire d'une jeune femme de 26 ans qui se présente comme une étudiante qui s'appelle Christelle. Elle fait ses études dans la capitale. Sa rencontre amoureuse avec un homme âgé qui subvient à ses besoins a failli la tuer. Elle en est sortie vivante et décide de partager les faits avec ses semblables.

Je ne veux pas d'insultes s'il vous plaît, je veux partager mon histoire pour me défouler un peu. Je suis Christelle, 26 ans, étudiante en droit. J'ai eu une aventure avec un homme de 52 ans il y a deux mois. Malheureusement, il est reparti en Europe pour rejoindre sa famille.

Il était toujours parfumé, il m'appelait « ma petite princesse » quand on a fait connaissance. Quand il m'a invitée pour la première fois, je m'attendais à une soirée tranquille où je ne pourrais pas beaucoup faire de mouvements.

On a mangé, bu du vin, c'était chic, puis il m'a demandé de danser avec lui un moment. Ses mains étaient fermes, ses gestes sur mon corps étaient précis. Je sentais que le danger arrivait.

Puis, il m'a embrassée et là, c'était fini. On est parti dans une chambre à côté. Il me regardait dans les yeux comme s'il voulait me dévorer crue. Et quand il a commencé, Seigneur, c'était un mélange de douceur et de force.

Il savait quand accélérer et quand ralentir. Il m'a fait monter et descendre comme si j'étais sur un cheval de course. J'ai vu des étoiles dans mes yeux. À 52 ans, il avait l'énergie d'un jeune de 25 ans.

À un moment, il m'a retournée, m'a soulevée légèrement par la taille et là, j'ai vu tout flou tellement c'était intense. Chaque coup de rein résonnait dans tout mon corps. Je criais : « Papa, arrête s'il te plaît, je vais mourir ».

Mais au fond, je ne voulais pas qu'il s'arrête. Après le premier round, j'ai cru qu'il s'était vidé de toute son énergie et qu'il allait s'endormir. Mais non. Treize minutes plus tard, il a recommencé, encore et encore. Pour finir, c'est moi qui ai supplié : « Pardon, laisse-moi respirer ».

Le lendemain, je l'ai regardé avec respect et j’ai compris que l'expérience, ça ne s'invente pas. Il me manque et il m'a laissé l'envie de ne fréquenter que les vieux expérimentés.