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Actualités of Friday, 4 November 2022

Source: www.camerounweb.com

'J'adore la b@ise' : l'éminent prof d'université Messanga Nyamding choque le peuple à la télé

Pr Pascal Messanga Nyamding aime le sexe Pr Pascal Messanga Nyamding aime le sexe

C’est bien une curieuse déclaration du Pr Charlemagne Pascal Messanga Nyamding qui a le mérite de faire rire certains et de choquer d’autres observateurs.

L’ancien collaborateur du président Paul Biya, ex-militant haut placé du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) a fait un aveu très intime en direct sur une chaîne de télévision camerounaise.

Les autres invités présents sur le plateau ne pouvaient pas s’empêcher de rire aux éclats. Et pour cause, le professeur a surpris tout le monde, même les téléspectateurs qui n’en croyaient pas leurs yeux.

C’est le lanceur d’alerte N’zui Manto qui a publié un extrait du passage à la télévision de Pr Charlemagne Pascal Messanga Nyamding.

L’homme qui a été chassé du parti au pouvoir par Paul Biya il y a plusieurs mois, a déclaré qu’il est un grand fanatique de la pratique sexuelle.

Les mots écrits par l’informateur sont les suivants : « Fête du trône. 06 novembre 1982 - 06 novembre 2022. A l'occasion de la fête du trône marquant la 40ème année du règne de Paul Biya, un célèbre professeur d'universités camerounaises a été invité sur un plateau pour décrypter la longévité du dieu camerounais ».

« La réponse du professeur : "J'aime le mbinda. J'adore ça ". Traduction : "J'aime la b*aise. J'adore la b*aise" », écrit la source que la rédaction de CamerounWeb a cité plus haut.

Ça alors, que le Pr Charlemagne Pascal Messanga Nyamding « aime le mbinda », c’est une chose. Qu’il soit capable de l’avouer en public devant des millions de téléspectateurs, c’en est une autre. C’est là toute la surprise.

Pour le reste Pascal Messanga Nyamding est passé de collaborateur direct de Paul Biya à persona non grata. Malgré tout, il affirme toujours son soutien indéfectible au chef de l’Etat.



C’est une chose que ne comprend pas l’institut du Comité de libération des prisonniers politiques. Dans une sortie antérieure, il a laissé entendre que « continuer de se réclamer d’un supposé "père politique" qui peut vous exclure définitivement de son parti-Etat de malfaiteurs sur des accusations grotesques et fallacieuses montées de toutes pièces par ses "créatures", afin de vous réduire au silence… traduit trente-sept (37) ans d’égarement personnel, d’errance idéologique, d’imposture militante, et même de mendicité existentielle ».