Actualités of Friday, 5 September 2025

Source: www.camerounweb.com

Homosexualité : la nouvelle stratégie de la France pour transformer tous les Camerounais

Dans un article précédent, la rédaction évoquait déjà une potentielle perversion des enfants par la Fnac qui met à leur disposition des livres dans lesquels les points sur la sexualité, même les plus intimes, sont éclaircis. Ce n’est pas une chose qui plaît aux activistes du pays, dont Shance Lion qui demande à protéger « l’identité camerounaise face aux menaces culturelles que veut nous imposer subtilement la France à travers la Fnac à Douala ».

La société camerounaise est aujourd’hui confrontée à un défi majeur qui met en péril son équilibre, ses traditions et l’avenir de sa jeunesse : l’intrusion, dans nos espaces culturels et éducatifs, d’ouvrages destinés aux enfants faisant la promotion de l’homosexualité.

À Douala, la FNAC, grande enseigne française de produits culturels et électroniques, expose dans ses rayons des livres enfantins porteurs de ce message. Ce fait, en apparence anodin, constitue en réalité une stratégie subtile et dangereuse, ce n’est pas un simple commerce : c’est une offensive idéologique qui vise à saper, dès le plus jeune âge, les fondements de notre société.

Influencer dès le plus jeune âge la pensée et la conscience des enfants camerounais, afin d’altérer leur perception des valeurs fondatrices de notre société, de la société camerounaise, de la tradition camerounaise.

Or, chaque peuple a son identité. La France, comme d’autres puissances culturelles, use de ses outils d’influence, livres, films, documentaires, télévisions, centres culturels pour façonner les mentalités et affaiblir les repères des autres nations. Dans le cas du Cameroun, cette offensive vise directement l’identité camerounaise, enracinée dans des traditions séculaires, où l’homosexualité n’a jamais fait partie des fondements de la vie sociale, familiale, traditionnelle et spirituelle de notre pays, de notre nation.

Les conséquences de cette dérive sont multiples. Sur la société camerounaise : l’érosion de nos valeurs morales et culturelles, l’effritement de la cellule familiale et la montée des incompréhensions entre générations.

Sur la tradition camerounaise : la dilution des repères qui ont permis à nos ancêtres de bâtir une société solidaire, respectueuse des coutumes et de l’ordre naturel.

Sur l’éducation nationale : le risque de voir nos enfants, encore fragiles et en construction, exposés à des contenus qui brouillent leur apprentissage des valeurs fondamentales de notre pays, de la tradition africaine, au détriment d’un enseignement conforme à nos réalités.

Il est donc impératif que les pouvoirs publics camerounais réagissent avec fermeté et responsabilité. Le ministère de l’Éducation nationale, le ministère de la Culture, le ministère de la Promotion de la gemme et de la Famille, mais aussi les organismes de défense de nos valeurs, les personnalités politiques et les leaders d’opinion doivent se lever pour dénoncer et interdire toute tentative d’infiltration idéologique qui menace notre jeunesse et notre identité.

Le Cameroun n’a pas vocation à se laisser imposer des modèles qui ne correspondent ni à son histoire, ni à ses us et coutumes, ni à ses réalités, ni à sa vision de l’avenir. Préserver notre identité, c’est protéger nos enfants. Protéger nos enfants, c’est garantir l’avenir de notre nation, la nation camerounaise, que nous avons hérité des pères fondateurs de celle-ci.

Le combat du Cameroun est aussi celui de toute l’Afrique. Préserver nos enfants, c’est préserver l’avenir du continent. Refuser cette offensive culturelle, c’est affirmer notre droit souverain à rester fidèles à nos traditions, à nos valeurs et à notre identité africaine.