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Actualités of Tuesday, 7 November 2023

Source: www.camerounweb.com

Etoudi : les premières images incroyables du 41e anniversaire de Biya au pouvoir

Les années de Paul Biya au pouvoir Les années de Paul Biya au pouvoir

Le 6 novembre passé marquait le 41ème anniversaire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) au pouvoir. Paul Biya fait de vieux os dans le fauteuil présidentiel. Le monde entier attend de voir la décision que le parti prendra en 2025 pour l’élection présidentielle.

Paul Biya se représentera-t-il encore pour un énième mandat ? Voudra-t-il enfin laisser sa place à un autre membre du parti ? Emmanuel Franck Biya que l’on annonce depuis longtemps comme son successeur va-t-il avoir l’opportunité rêvée de prendre les choses en main ? Ce sont autant de questions auxquelles on trouvera très rapidement des réponses.

En attendant, le président Paul Biya et sa femme Chantal Biya ont fêté les 41 ans passés à diriger le pays. Le lanceur d’alerte N’zui Manto s’en révolte : « Une trentaine de Camerounais tués, Paul Biya et sa femme mangent le gâteau en fêtant son pouvoir ».

« Aucune annonce », déplore-t-il. « Aucune sortie pour rassurer les Camerounais, aucun discours de fermeté pour condamner le massacre, aucun message aux familles des victimes, aucun décret pour annoncer le deuil national », souligne Manto.

« Si cette attaque avait eu lieu chez les Blancs, Paul Biya aurait dans un premier temps souhaité ses condoléances au pays concerné avant de lui offrir un million de dollars en espèces. Le vieux sénile dictateur Mvondo Biya représente au Cameroun ce que les dix plaies représentaient pour l’Égypte », déclare la source susmentionnée.

Les punchlines pour mettre l’accent sur l’importance de quitter le pays ne manquent jamais sur les réseaux sociaux : « La dernière personne à quitter ce pays doit se rappeler d'éteindre les lumières et de laisser les clés au pays voisin le plus proche. Nous reviendrons lorsque la normalité reviendra », écrit un citoyen.

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Son alter ego ajoute : « Franchement mieux vaut être un arbre au Canada que d'être un humain au Cameroun ». Le pays est devenu à la limite invivable.