L'immoralité sexuelle, la fornication, le multipartenariat et la débauche ont gagné presque toutes les âmes au Cameroun.
Au Cameroun, les cousins couchent entre eux, les frères couchent avec la même femme et des oncles pénètrent leurs nièces sans vergogne.
L'histoire que vous vous apprêtez de lire es celle d'une jeune fille de moins de 20 ans, qui couche régulièrement avec son oncle qui est fiancé à une fille.
"Je m'appelle Sandrine, j’ai 19 ans, et je viens de Foumban, à l’Ouest du Cameroun. Mais aujourd’hui, je suis à Douala, dans cette grande ville qui ne dort jamais.
Je suis venue ici pour l’université, pour faire quelque chose de bien de ma vie, pour faire la fierté de ma famille. Mais ce qui s’est passé, c’est tout sauf ce que j’avais prévu.
Quand je suis arrivée à Douala, je n’avais personne pour m’accueillir, alors ma mère m’a dit de rester avec son petit frère, mon oncle Éric.
Lui, il a 38 ans, et il vit seul dans une maison de deux chambres. Une pour lui, une pour moi. Au début, tout allait bien. On vivait comme une vraie famille. Il me donnait des conseils sur la ville, il veillait à ce que je ne manque de rien.
C’était comme un père, un protecteur. Mais très vite, les choses ont changé.
Je ne sais même pas exactement quand ça a commencé. Peut-être c’était ce jour-là, où j’étais dans la salle de bain, et je ne savais pas qu’il était rentré plus tôt du travail. J’étais en train de me doucher, et la porte était à moitié ouverte. Je n’avais pas vraiment fait attention, tu vois ? C’était mon oncle, après tout.
Mais ce jour-là, j’ai vu dans son regard quelque chose de différent. Ce n’était plus le regard protecteur de l’oncle. Non, c’était autre chose, quelque chose de plus sombre, de plus profond. Moi, j’ai fait semblant de ne rien voir, mais dans mon ventre, je sentais que quelque chose allait mal tourner.
Les jours qui ont suivi, il a commencé à être plus proche, à me regarder un peu trop longtemps quand je portais des petits shorts à la maison. Moi, au fond, ça me faisait quelque chose, mais je me disais que c’était juste une impression. Jusqu’au jour où tout a basculé.
C’était un samedi soir, sa copine, Nathalie, devait venir passer le week-end, comme d’habitude. Mais ce soir-là, elle n’est pas venue. On était tous les deux dans le salon, devant la télé. Il m’avait proposé un verre de vin, juste comme ça, pour "détendre l’atmosphère", qu’il disait. Moi, je ne bois pas beaucoup, mais ce soir-là, je me suis laissée aller.
Petit à petit, je sentais ma tête tourner, et c’est là qu’il s’est approché de moi, doucement. Il m’a regardée droit dans les yeux, et sans dire un mot, il a posé sa main sur ma cuisse. Mon cœur battait à toute allure, mais je n’ai pas bougé.
Puis, tout est allé très vite. Il s’est penché vers moi, et ses lèvres ont touché les miennes. J’étais figée, entre la peur et une espèce de curiosité malsaine. Comment est-ce que je pouvais laisser ça arriver ? C’était mon oncle, l’homme qui m’avait accueillie chez lui.
Mais en même temps, son toucher me brûlait d’une façon que je n’avais jamais ressentie avant. Ses mains ont commencé à explorer mon corps, doucement d’abord, puis avec plus d’insistance. Il m’a prise par la main et m’a emmenée dans sa chambre.
Dans cette chambre, j’ai fait quelque chose que je ne pensais jamais faire. Il m’a déshabillée lentement, comme si c’était un rituel. Chaque vêtement qui tombait au sol me faisait sentir un peu plus coupable, mais je ne pouvais plus reculer.
Mon corps avait déjà pris la décision pour moi. Quand il m’a allongée sur son lit, il m’a caressée comme personne ne l’avait jamais fait. Et là, sous ses mains expertes, j’ai senti mon corps répondre. J’avais honte, mais je ne pouvais plus m’arrêter.
Il m’a pénétrée cette nuit-là, et je ne t’expliquerai pas la douleur et le plaisir qui se sont mélangés dans mon esprit. C’était interdit, c’était sale, mais mon corps réclamait encore. Lui, il savait exactement comment s’y prendre, il avait l’expérience, la maîtrise. Chaque coup de rein, chaque mouvement de son corps sur le mien m’enfonçait plus profondément dans ce péché. Je ne savais plus qui j’étais. Une nièce ? Une amante ? Tout était confus.
Mais ce n’était pas qu’une seule fois. Après cette nuit-là, c’était devenu régulier. Chaque fois que Nathalie n’était pas là, chaque fois qu’on se retrouvait seuls à la maison, il venait dans ma chambre, ou je venais dans la sienne. On se disait rien, pas un mot, mais nos corps parlaient à notre place. Il me prenait dans des positions que je n'avais jamais imaginées. Je devenais une autre personne entre ses bras, et même si je savais que c’était mal, je n’arrivais pas à dire non.
Mais , ce qui me hante le plus, c’est que je commençais à aimer ça. Je m’y accrochais, à cette relation t0xique et interdite. Je me disais que c’était la seule façon d’exister dans cette grande ville où personne ne me connaissait vraiment.
Mais à chaque fois que Nathalie venait passer le week-end, je me sentais sale, je me sentais invisible. Lui, il jouait le rôle parfait du petit copain avec elle, et moi, je n’étais que l’ombre dans la maison. Mais dès qu’elle repartait, c’était encore moi qu’il venait chercher.
Aujourd'hui, je me demande si un jour je vais pouvoir sortir de ce piège, si je vais pouvoir me regarder dans le miroir sans voir la honte. Mais ce que je sais, c’est que j’ai goûté à quelque chose que je ne pourrai plus jamais effacer de ma vie. J’ai besoin de conseils".