État de santé alarmant de Paul Biya : son 1er fils donne les dernières informations

À travers une déclaration sur sa page officielle Twitter, le Dr Georges Gilbert Baongla, Président du Parti Républicain et fils aîné du Président Paul BIYA, apporte des éclaircissements sur l'état de santé de son père, tout en dressant un bilan des 41 ans de leadership du Chef de l'État camerounais. Une déclaration qui ne manque pas de tancer les détracteurs du régime.

Le Dr Georges Gilbert Baongla assure l'opinion publique nationale et internationale que le Président de la République du Cameroun, S.E Paul BIYA, se porte bien. Ce message vise à calmer les inquiétudes et à fournir des informations rassurantes sur l'état de santé du chef de l'État.

Dans son tweet, celui qui se fait appelé fils aîné de Paul BIYA dresse un bilan élogieux des 41 ans de leadership de son père à la tête de la République du Cameroun. Il met en avant les réussites politiques dans divers domaines tels que l'économie, le social et la diplomatie. Il évoque également le replâtrage de la vision du renouveau, soulignant son impact mondial.

Le Dr Georges Gilbert Baongla n'hésite pas à adresser un tacle aux ennemis de la République du Cameroun, déclarant « Tampis pour ses détracteurs ». Cette réplique témoigne de la volonté de défendre le bilan de son père et de riposter aux critiques souvent émises à l'encontre du régime.

Le tweet du Président du Parti Républicain prend également position sur la scène politique actuelle, saluant l'homologation de 40 partis politiques par le Ministère de l'Administration Territoriale (MINAT). Il affirme son soutien à cette démarche, soulignant l'importance de la démocratie et rejetant les mouvements politiques clandestins.

La déclaration du Dr Georges Gilbert Baongla sur Twitter offre un éclairage sur la santé du Président Paul BIYA et met en avant les réalisations de ce dernier au cours de ses 41 années de leadership. Elle témoigne également de l'engagement du Président du Parti Républicain en faveur de la démocratie et de son rejet envers ceux qu'il qualifie d'« ennemis de la République ».