La défaite face à la RDC a déclenché une manœuvre troublante en coulisses.** Selon nos sources, trois joueurs majeurs de l'équipe nationale – André Onana, Martin Hongla et Vincent Aboubakar – ont directement contacté le ministère des Sports pour défendre coûte que coûte Marc Brys et désigner Samuel Eto'o comme l'unique responsable de la débâcle camerounaise. Pour eux, le président de la FECAFOOT est « le cancer de l'équipe nationale », un obstacle à leur « position confortable » au sein de la tanière. Ils affirment qu'un changement d'entraîneur serait inutile et perçu comme une attaque contre le vestiaire. Pourtant, le bilan parle de lui-même : trois matchs sans marquer, une élimination humiliante, un groupe en perdition totale. Cette sortie soulève une question dérangeante : qui tire les ficelles ? Un regard sur les agents qui représentent ces joueurs révèle une équation troublante, où la fidélité sportive pèse moins lourd que les enjeux personnels, les titularisations garanties et la protection d'intérêts communs. Entre manipulation et calculs d'arrière-boutique, les Lions Indomptables semblent dévorés de l'intérieur.




EXCLUSIVITÉ RSI : Après l’élimination , certains joueurs veulent faire d’Eto’o le bouc émissaire.
Selon des informations obtenues par nos sources, l’élimination du Cameroun a provoqué une agitation inattendue en coulisses. Certains joueurs de l'équipe André Onana, Martin Hongla et Vincent Aboubakar ont contacté directement le ministère des Sports dans la foulée de la défaite face à la RDC.
Objectif : défendre coûte que coûte Marc Brys et, surtout désigner Samuel Eto’o comme responsable de tous les maux actuels de l'équipe .
Ils affirment que la gestion de la FECAFOOT est à l’origine de la déroute sportive, et qu’un changement d’entraîneur est inutile.
Pour eux, Marc Brys ne doit absolument pas être touché, et toute décision allant dans ce sens serait perçue comme une attaque directe contre le vestiaire.
Un message qui a de quoi surprendre au regard du contexte : trois matchs sans marquer, une élimination en poche, et un groupe en perte de repères.
Cette sortie n’a peut-être rien d’innocent.
Il suffit de regarder qui représente en tant qu’agent de joueurs, les plaignants pour comprendre l’équation. Une équation où la fidélité sportive pèse moins lourd que les enjeux personnels, les titularisations, la pérennité en sélection et la protection de certains intérêts communs.
Pour eux, Eto’o c'est le cancer de l'équipe nationale; un obstacle à leur position confortable au sein de la tanière.