Selon des sources sécuritaires, les services tchadiens ont intercepté à Koutéré un véhicule transportant des milliards de FCFA, d’euros et de dollars, appartenant à un cadre de l’Agence Nationale de Sécurité. Les fonds, soigneusement dissimulés, étaient en partance pour le Cameroun, alimentant les spéculations sur des financements occultes dans un contexte régional déjà tendu.


Ce qui s’est passé à Koutéré, poste frontalier clé entre le Tchad et le Cameroun, dépasse le simple fait divers. C’est un symptôme alarmant d’un système en état de panique.
En pleine nuit, les renseignements généraux tchadiens ont intercepté un 4x4 Tundra bourré de milliards de FCFA, d’euros et de dollars, soigneusement emballés et camouflés dans les parois du véhicule.
Mais le plus choquant, c’est l’identité présumée du propriétaire. Ce qui s’est passé à Koutéré n’est pas un simple “coup de filet”.
Selon les sources de TchadOne, les fonds ne proviendraient pas d’un trafic classique.
Le cash appartiendrait à un haut cadre de l’Agence Nationale de Sécurité (ANS), qui tentait discrètement de faire sortir l'argent du pays… direction le Cameroun.
Le véhicule, les occupants et les billets ont été escortés à la DGRI à N’Djamena.
Mais la peur est grande : dans ce genre d’affaires, les preuves disparaissent souvent plus vite qu’elles n’ont été saisies.
Beaucoup redoutent déjà qu’un silence administratif recouvre ce scandale.
Ce scandale éclate au pire moment possible pour la sous-région : alors que le Cameroun traverse une période hyper-sensible, marquée par :
●Des manipulations,
●Des tentatives d’insurrection,
●Des financements occultes circulant entre plusieurs pays voisins,
●Des acteurs politiques cherchant à instrumentaliser la moindre brèche.
Le fait qu’un haut responsable du renseignement tchadien cherche à transférer des milliards vers le Cameroun en pleine crise post-électorale soulève des questions lourdes :
●Ces fonds étaient-ils destinés à alimenter des réseaux de déstabilisation ?
●S’agissait-il d’une opération personnelle ou d’un mécanisme financier transfrontalier ?
●Pourquoi choisir le Cameroun comme zone de refuge financière à ce moment précis ?
Au moment où le Cameroun se bat contre :
●Les appels à l’insurrection,
●Les manipulations numériques,
●Les financements obscurs visant à mettre le pays à feu et à sang,
une fuite de capitaux de cette ampleur vers son territoire n’est pas un simple hasard.
Cette affaire révèle un message terrible :
《Quand ceux qui sont censés protéger l’État sont les premiers à envoyer leurs fortunes se mettre à l’abri de l’autre côté de la frontière, c’est qu’ils ne croient plus à la stabilité du système.》
Le Cameroun, déjà sous pression depuis l’annonce des résultats du 27 octobre 2025, n’a pas besoin d’importer des crises financières clandestines venues du Tchad.
Mais cette tentative avortée montre comment les réseaux d’argent sale circulent entre les deux pays, profitant du chaos politique.
La saisie de Koutéré n’est pas seulement un scandale tchadien. C’est un signal d’alarme régional, un avertissement pour le Cameroun, qui doit plus que jamais :
●Renforcer ses frontières,
●Rurveiller les flux financiers suspects,
●Bloquer les financements étrangers destinés à alimenter la crise post-électorale,
●Protéger sa souveraineté.
Les milliards saisis racontent une histoire simple : quelqu’un, quelque part, se prépare à fuir. Et quelqu’un, quelque part, voulait que cet argent franchisse la frontière camerounaise.
Shance Lion