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Actualités of Monday, 28 March 2022

Source: www.camerounweb.com

Drame à Douala : un homme meurt mystérieusement à Bonassama

Le pire s’est produit alors que la victime dormait entre deux piles de planches. Le pire s’est produit alors que la victime dormait entre deux piles de planches.

L’incident a eu lieu à Bonassama, un quartier de Douala. Le pire s’est produit alors que la victime dormait entre deux piles de planches.

Il s’agirait du dénommé Zama, trentenaire et gardien. Ce dernier « dormait entre deux piles de planches lorsque le pire s’est produit. Il ignorait sans doute que la planche utilisée comme support était défectueuse. », rapporte ABK radio.

La planche se serait brisé ce qui aurait, selon des témoins, occasionné sa mort. Alertées, les forces de l’ordre se sont mobilisées pour faire le constat. Le corps sans vie de Zama serait transféré à l’hôpital de district de Bonassama.

La rédaction de CamerounWeb a aussi appris ce lundi de sources dignes de foi que l'enseignant (photo) a été tué à bout portant à son domicile par des hommes armés.

Nous apprenons également que ces hommes qui ont commis ce forfait, ont enlevé plusieurs personnes dans la maison que loue l'enseignant et demande des rançons pour leur libération.

"L'enseignant se trouvait dans son lit lorsque des hommes armés vont faire irruption avant de lui tirer dessus à bout portant. Sa femme qui a été témoin du drame affirme que d'autres personnes présentes dans la maison ont été enlevées par les intrus qui exigent désormais une rançon pour leur libération. Les accusations sont portées contre les ambazoniens qui de leur côté nient les faits", nous confie notre source.

Ces dernières années, les ambazoniens se sont rendus coupables de plusieurs actes criminels et enlèvements.

L'on se rappelle encore de l'enlèvement du délégué régional de Camwater dans le Noso par un groupe d'ambazoniens qui ont réclamé plusieurs millions aux autorités et à la famille du fonctionnaire avant sa libération.

Plusieurs autres personnes ont été enlevées par des ambaboys, mais plusieurs autres ont été tués pour non-respect des décisions prises par les premiers responsables de la République autoproclamée de l'Ambazonie.