Même en plein examen du BACC, les ardeurs jouissives des élèves ont pris le dessus en cette fin d’année. Deux candidats en tenue, dans une salle de classe vide d’hommes, mais pas très loin d’une caméra isolée qui les filmait, s’envoyaient en l’air sans vraiment se soucier de la suite à donner à leur avenir scolaire. N’zui Manto, celui qui a dévoilé premièrement la scène, le fait en informant tout en divertissant le public avec ses récits comiques dont lui seul a le secret.

Piment info (spécial BACC). Scène de kamasoutra au lycée bilingue de Bobongo à Douala. Il n’y a pas que l’eau qui a coulé ces jours, la bouillie aussi.

Le vacarme de la fin des épreuves accompagne les candidats à l’université s’éloignant de l’établissement. Les lieux se vident progressivement.

Deux lycéens présents dans une salle de classe s’apprêtent à s’engager dans une épreuve parallèle. La table banc censée porter le cartable de l’écolier accueille le fessier de l’écolière. Sa jupe se trouvant quelques secondes plus tôt au talon, s’arrête tout à coup aux reins.

Nul besoin d’équerre pour offrir un angle droit de son bas-ventre après décroisement de ses jambes en feu. L’écolier adroit n’en demandait pas plus pour viser la lucarne à coups de langue serpentant contour et pourtour du minou dont les miaulements silencieux ambiancent l’action.

Autour de l’écolière de rendre la politesse à son partenaire énervé comme le témoigne son appareil tendu. L’écolière se débarrasse alors de son stylo pour mieux consommer sa canne à sucre charnue. Le plaisir se déguste à volonté.

Pour les deux élèves, un échec au BACC n’est que vicissitude de la vie, car leur talent de la chair pourrait leur être utile chez Dorcel.