Douala : 2 redoutables braqueurs lynchés et brûlés vifs

• Ils semaient la peur au sein de la population

• Ils ont été pris après avoir commis un forfait

• Ils ont été brûlés vifs par des riverains mécontents


Deux microbes de moins à Douala, la capitale camerounaise. Deux redoutables braqueurs qui semaient la panique au sein de la population, viennent de finir leur course terrestre.

C'est un film rocambolesque digne d'un accident de travail qui s'est produit à l'entrée dépôt Guinness de Douala. Les deux arracheurs de sac ont été lynchés et ont terminé leur courses sous les roues qui se situaient à quelques pas du lieu de leur intervention nocturnes.

Les deux joueurs avaient fait de l'obscurité un allié indéfectible dans l'exercice de leurs fonctions. Ils ont été condamné à la peine maximale par la justice populaire avec application immédiate de la sentence.

Quelques minutes plus tôt, les deux joueurs avaient réussi à chicoter le sac d'autrui et c'est dans leur fuite, lors d'une erreur de calcul de la tangente qu'ils seront rattrapés par la foule livrant ceux-ci à leur triste sort.

Le phénomène des microbes devient un casse-tête chinois pour les populations fatigués par leur agissement.

Dernièrement, c'était deux redoutables voleurs de motos qui ont été brûlés vivants à Douala. Les deux malfrats qui semaient la panique et la peur au sein des populations de Ndogpassi ont quitté tristement ce monde des vivants.

Ils ont terminé leur course sous des pneus apportés par des riverains mécontents. En effet, le tandem arracheur d'engins à deux roues a été arraché à la vie sous deux pneus enflammés.

Les deux complices après avoir volé l'engin ont été moins rapides que la foule à pied qui était au summum de la colère. Ils ont en tout cas décidé d'en finir avec ces microbes qui pullulent la tranquillité.

Les riverains n'ont donc eu aucune pitié pour ces voleurs qui ne sont d'ailleurs pas à leur premier coup.

Ce sont les policiers qui sont venus débarrasser les deux cadavres braisés de pneus par lesquels ils ont été cuits.

Malgré les nombreux malheurs qui frappent leur collègues, les microbes ne désarment pas.