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Actualités of Saturday, 13 August 2022

Source: www.camerounweb.com

Dernière minute : devant Malachie Manouda, Nourane Foster accuse les journalistes de France 24 d'escroquerie

Qui a raison et qui a tort ? La nécessité de démêler le vrai du faux devient urgente. Qui a raison et qui a tort ? La nécessité de démêler le vrai du faux devient urgente.

La fermeture de la ligne Nourishka a été actée depuis quelques jours. La société de la députée camerounaise, Nourane Foster a fermé ses portes après un reportage de France 24 qui a interpellé le ministre de la Santé. L’entreprise a décidé de fermer, purement et simplement sa ligne de production.

Dans sa sortie, Nourane Foster se dit excédée par les cabales politiques et médiatiques qui sont orchestrées contre elle depuis plusieurs années.

"La cabale politico-médiatique a eu raison de nous. Merci à tous ceux qui auraient voulu au moins qu'on me permette de dire un mot. Merci aux milliers de clients. Ce fut une relation spéciale", ajoute t-elle.

Après son interdiction et l’annonce de son retrait sur le marché, la députée NOURANE FOSTER a rencontré jeudi le ministre de la Santé Malachie Manaouda. Selon nos sources il s’agissait de s’enquérir des modalités pour se conformer à la réglementation et la loi.

Mais en marge de cette affaire, une autre impliquant les journalistes de France 24 et la députée elle-même secoue l'opinion. En effet, il ressort que des dessous de table sont entrés en jeu. Mais pour l'heure les versions d'une partie comme l'autre sont différentes.

Dans le communiqué rendu public par l'entreprise de la députée Foster, il y est mentionnée qu'un somme de 50.000 FCFA environ a été versée aux Journalistes et ces derniers auraient usés de la duperie.

Dans l'autre sens, c'est tout le contraire qui est mentionné. « Les journalistes font savoir que Mme Foster a essayé de proposer de l'argent de taxi et ils ont refusé. Elle les a invité manger. Ce qu'ils ont quand même accepté. Mais une fois rentrés à leur bureau ils ont reçu un dépôt Momo de 50.000 renvoyé d'ailleurs à l'heure actuelle.» a tweeté Annie Payep, journaliste également.

Qui a raison et qui a tort ? La nécessité de démêler le vrai du faux devient urgente.

Communiqué