La nouvelle du décès tragique du fils du politologue Aristide Mono, un enfant de 7 ans, a créé une onde de choc dans l'opinion publique camerounaise. Cette tragédie n'a pas laissé indifférent Maurice Kamto, qui a tenu à exprimer publiquement ses condoléances et son soutien à la famille endeuillée.

Dans un message diffusé sur ses réseaux sociaux, Maurice Kamto, président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), a partagé sa tristesse et sa compassion suite à la disparition tragique du fils d'Aristide Mono, figure respectée de la scène politique et intellectuelle camerounaise

« J'ai appris avec une grande tristesse la tragédie du décès du fils du Docteur Aristide Mono, âgé de 7 ans, emporté dans des circonstances bouleversantes », a écrit l'homme politique dans sa déclaration. « Existe-t-il des mots justes pour consoler un parent de la perte d'un enfant ? Qu'à cela ne tienne, en ce moment de grande douleur, je tiens à exprimer au père si durement éprouvé et à toute sa famille mes condoléances attristées auxquelles j'associe l'expression de ma profonde compassion. »

Ce message de Maurice Kamto illustre la capacité des tragédies humaines à transcender les clivages politiques. Face à la douleur d'un père qui a perdu son enfant, les différences idéologiques s'effacent pour laisser place à la solidarité humaine la plus élémentaire.

L'ancien candidat à la présidentielle a poursuivi son message en souhaitant que « la force morale et l'affection de nombreux Camerounais » puissent soutenir la famille Mono dans cette épreuve difficile, concluant par une prière : « Puisse l'âme de votre fils reposer en paix. »

Selon les informations disponibles, le drame a frappé Aristide Mono peu après qu'il ait déposé son fils chez sa grand-mère. Le politologue et intellectuel camerounais, visiblement éprouvé par cette perte, a lui-même tenu à raconter les circonstances bouleversantes de la disparition de son jeune fils, témoignant de la profondeur de sa douleur.

Cette tragédie a suscité une vague d'émotion et de solidarité dans l'opinion publique camerounaise. Au-delà des appartenances politiques, nombreux sont ceux qui se sont associés à la douleur de la famille Mono, démontrant que certaines épreuves de la vie humaine touchent universellement les cœurs.
Le geste de Maurice Kamto s'inscrit dans cette dynamique de compassion collective, rappelant que face à la mort d'un enfant, toute la société camerounaise se trouve concernée et émue.