Crise au sein de l’Association des Journalistes Sportif du Cameroun : L'affaire bientôt en justice

• Une frange dissidente accuse Bertille Missi Bikoun d’usurper le titre de présidente


• Elle vient de signer une série de communiqué qui ont réveillé les vielles rancœur


• Une mise en demeure lui a été servie


L'imposture n'avait que trop duré, il était tant de véritablement agir. La goutte d'eau de trop a été une série de communiqués signés par Bertille Missi Bikoun, usurpant ainsi la qualité de présidente de l’AJSC, pour mener des activités au nom de l’AJSC et invitant les journalistes sportifs à l'établissement des cartes de ladite association.
Pour l’instant, le Comité Provisoire de Gestion dont elle demeure 2e vice-présidente, est la seule entité juridique et légitime mise officiellement en place par les deux camps, sous la médiation de AIPS Afrique.
Et malgré l’initiative du président de la Fecafoot en janvier dernier de mettre fin à cette crise, c’est elle qui a refusé les propositions positives du président de la Fecafoot.
Cette situation a finalement contraint le Président du Comité Provisoire de Gestion de lui servir une mise en demeure par Huissier de justice le 29 juin dernier, aux fins de mettre immédiatement fin à cet imbroglio qu'entretient la mise en cause depuis plusieurs mois, avec la complicité de certains membre de AIPS Afrique, en violation des textes tant de l'AJSC que de l'AIPS.

Il lui est donc désormais interdit de mener toute activité au nom de l’AJSC, en usurpant le titre de Présidente de l'AJSC, alors qu’aucune Assemblée générale élective n’a encore été convoquée. Faute de quoi l'affaire devra être portée par devant les tribunaux, pour que force revienne à la loi.

Cette situation intervient alors que de l’autre côté du Syndicat national des journalistes du Cameroun, une crise est également née. Elle oppose l’ancien président du syndicat Denis Kwebo à certains membres de la section du centre. Denis Kwebo est accusé d’usurper le titre de journaliste alors qu’il ne l’est plus. Il est également accusé d’avoir convoqué un congre illégal qui a abouti à l’élection illégale de Marion Obam qui serait une protégée de Denis Kwebo.