Actualités of Wednesday, 30 July 2025

Source: www.camerounweb.com

Coup de Tonnerre : Maurice Kamto balance une bombe juridique au Conseil Constitutionnel

Maurice Kamto Maurice Kamto

Maurice Kamto a déposé une requête au Conseil Constitutionnel contestant le rejet de sa candidature. Cette démarche juridique s'annonce comme un moment décisif pour la politique camerounaise.




Coup de Tonnerre : Maurice Kamto balance une bombe juridique au Conseil Constitutionnel

Attention, ce qui se passe est historique. Maurice Kamto vient de déposer une requête explosive, taillée dans le roc, au Conseil Constitutionnel. C’est du jamais vu dans les annales judiciaires du Cameroun : un texte implacable, tranchant comme une lame, qui démonte pièce par pièce l’arnaque institutionnelle orchestrée contre sa candidature.

Ce requête est d’une rare intensité et solidité. Du jamais vu dans l’histoire politique du Cameroun. Le procès à venir autour de ce dossier s’annonce comme un événement historique. Les Camerounais qui le manqueront dans les dix prochains jours rateront un moment capital pour la démocratie camerounaise.

Ce procès qui s’annonce dans les dix prochains jours n’est pas un simple épisode judiciaire. C’est le procès du système, le grand strip-tease de la République fictive du régime Biya. Et ce moment, les Camerounais ne doivent sous aucun prétexte le manquer, car aucune caméra n’y sera autorisée. Les faussaires veulent agir dans l’ombre. À nous de leur opposer la lumière du peuple.

C’est pourquoi il est impératif que les citoyens se rendent massivement au Conseil Constitutionnel pour assister, de leurs propres yeux, à ce moment crucial — car il ne sera pas retransmis à la télévision. Et pour cause : les autorités veulent cacher au monde la mascarade institutionnelle en cours.

La requête de KAMTO est une gifle juridique, un démontage en règle de la mafia d'État. Elle contient des preuves irréfutables montrant que le rejet de sa candidature ne repose sur aucun fondement juridique, mais uniquement sur l’arbitraire d’un système mafieux qui gouverne le pays à travers un Paul Biya devenu simple marionnette.

D’ailleurs, Anicet Ekane ne s’est pas privé de le dire : « Tout sera dehors. »

Quelques révélations : Dieudonné Yebga a été exclu du MANIDEM depuis 2018 par décision de justice. Il n’est ni membre du parti, ni légitime, et pourtant, il a osé s’auto-investir en signant sa propre lettre de candidature. Oui, vous avez bien lu : YEBGA s’est nommé lui-même candidat. Une farce institutionnelle.

Pire : il a tenté d’embarquer Jean-Bénéfice MEVOA dans sa combine. Tentative de corruption, manipulation, et enfin falsification du site du Minat — en pleine nuit, avec l’aide du récidiviste notoire ATANGA NJI. Le duo infernal s’est introduit dans les bases de données pour remplacer Anicet EKANE par YEBGA, et coller le nom de MEVOA comme SG du parti. Heureusement, MEVOA a contre-attaqué avec une vidéo virale, dénonçant la supercherie et exigeant que son nom soit effacé.

Mais ce n’est pas tout : MEVOA détient des preuves explosives contre YEBGA. Assez pour faire tomber l’édifice. Résultat ? Il est désormais menacé de mort par un régime prêt à tout pour enterrer la vérité.

En toute logique, YEBGA et ATANGA NJI devraient déjà moisir en prison pour faux, usage de faux, usurpation d’identité et piratage informatique. Mais dans ce Cameroun où les criminels siègent en conseil des ministres, ce sont eux qu’on protège.

Rendez-vous au Conseil Constitutionnel !
Ce procès sera un bain de vérité. Un bras de fer entre le peuple éveillé et le pouvoir décomposé. Le régime Biya va y laisser des plumes — et c’est tout ce qu’on lui souhaite.