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Actualités of Friday, 16 September 2022

Source: L’OEIL DU SAHEL N°1701

Concours administratifs : Comment les candidats se préparent dans l’Adamaoua

Ils semblent l’avoir bien compris ! Ces jeunes, candidats Ils semblent l’avoir bien compris ! Ces jeunes, candidats

Ils semblent l’avoir bien compris ! Ces jeunes, candidats aux différents concours d’entrées dans les grandes écoles et centres de formation publics, s’activent fortement pour se faire répéter. La concurrence sur les nombres de place à pourvoir n’est pas à négliger. Les programmes sont vastes et le chrono tourne à plein régime tant pour les enseignants que pour les élèves. « Nous avons sept séances des cours par semaine. Entre 7h00-8h00 du matin, nous commençons la journée par un Quiz. Pour, dix heures de cours intensifs par jours, les classes ont lieu de 8h00 à 18h00. La journée s’achève par des exercices pratiques. Les samedis sont consacrés au concours blanc, et les dimanches, nous clôturons par la Culture général et Anglais», confie un promoteur d’école de prépa concours dans la ville de Ngaoundéré.

Le chemin des groupes de préparations semble être le mieux balisé pour espérer une réussite. Par peur de faire des choux gras aux concours des différentes écoles normales d’enseignements supérieures de Maroua, Yaoundé, Bertoua, et Bambili, ou alors à ceux de l’Institut des Relations internationales (Iric), école normale d’administration et de magistrature (Enam), les facultés des médecines et des sciences biomédicales (Fmsb) de Yaoundé 1 et de Maroua, les derniers en lice pour l’exercice 2022/2023, le mieux est de se confier aux répétitions.

Samuel, un nouveau, est candidat et se prépare à affronter les épreuves de la faculté de médecine. La pension de 45 000 Fcfa de formation qu’il dépense, dont 5 000 Fcfa pour l’inscription et 40 000 Fcfa, frais de cours d'un mois payé auprès du bureau du fondateur n’équivalent pas l’engouement qu’il a de réaliser son rêve d’enfance : devenir un enseignement de médecine diplômé d'Etat.

C’est à l'école annexe du centre, en face de laTotal, près du carrefour 140 à Ngaoundéré que ce dernier suit ses cours de prépa : «Des fois les différents sujets antérieurs peuvent paraître difficile mais avec un peu d'efforts, d'explications et de travail on parvient finalement à une compréhension adéquate. Ce qui est cependant rassurant et redonne confiance en soi», dit-il.

Actuellement, dans un groupe, ils sont environ 25 candidats à suivre ces cours. Les filières revues ici sont : Physique, Chimie, Sciences Biologie, Sciences mathématiques, Anglais, Culture général.