C’est l’acteur de la société civile, Jorel, qui fait le lien. Le Camerounais, vivant à l’extérieur, fait savoir que la rapidité constatée dans le dossier de l’influenceuse Flore de Lille peut très bien servir dans l’affaire du petit Mathis tué par Dagobert Nwafo.

On sait désormais avec l'affaire de Flore de Lille que la justice au Cameroun peut faire preuve d'une extrême célérité. Nous exigeons donc que la justice camerounaise fasse preuve de la même célérité dans le dossier de Nwafo.

J'ai appris que Lydol aurait quitté le Cameroun depuis le Tchad pour un pays de l'Europe de l'est. J'ai également l'information selon laquelle le procureur en charge du dossier de Nwafo ne veut pas prendre sur lui la responsabilité de le coffrer, car il existe en effet des complicités depuis le sommet de l'État qui font tout pour éviter la prison à Nwafo, du moins le temps qu'ils puissent mettre leurs progénitures en sécurité.

De ce qui me revient, Nwafo servait certaines personnalités par "son travail" et maintenant il joue encore au sénile pour "protéger" ses "patrons". Jusqu'à quand va-t-il se taire, telle est la bonne question. Et ce d'autant plus qu'il ne reconnaît pas avoir tué volontairement le petit Mathis (tantôt c'est un esprit qui l'a eu, tantôt il voyait les anges, etc.).

Bref, la police scientifique devra intervenir pour établir "le complément d'enquêtes" dont la justice parle, mais ce qui est sûr et certain, c'est que le peuple camerounais ne laissera pas tomber cette affaire. Personnellement, même l'avocat de la famille de Mathis ne me dit rien qui vaille. Sa tête ne me revient pas tout simplement.

Mais bon, c'est leur choix. Nous voulons juste que justice soit faite et nous allons continuer à vous demander cette justice.