Ce qu'ont fait certains démissionnaire du MRC, mais que le parti n'a pas dévoilé

Le MRC a enregistré plusieurs démissions ces derniers mois. Des démissions qui ont fait autant de bruits, suite à des informations incriminant le parti, et qui sont souvent la version des faits des démissionnaires, souvent diffusées sur les réseaux sociaux.

Mais au MRC, les fait sont tout autrement présentés. Il faut souvent des sortie de certains cadres de la formation politique, pour donner une autre version des faits, pour comprendre que certains démissionnaires ne disent pas souvent la vérité.

Dans une sortie sur sa page Facebook, Jean Bonheur Tchouaffa a fait un petit résumé des agissements de certains membres du parti, qui ont commis des actes répréhensibles, mais les responsables de la formation politique n'ont pas réagi.


"Un militant démissionne, ensuite éjecte LE SECRÉTAIRE NATIONAL À LA COMMUNICATION DU PARTI de la page officielle du parti et reprend donc le contrôle de la page qui devient sa chose TOUT EN GARDANT le nom de la page MRC Porte-parole avec les initiales du MRC. Les militants qui s'identifient toujours à cette page ne savent pourtant pas qu'elle a été détournée et les publications qui y sont faites engagent notre formation politique alors que la page fait l'objet d'un braquage. Nous laissons faire et c'est nous qu'on traite d'extrémistes.

Un autre démissionne mais après sa démission procède au braquage de 3200 tee-shirts pour lequel j'avais contribué à la fabrication et avais diligenté cette fabrication depuis la Chine. Il démissionne donc emporte avec lui 3200 tee-shirts estampillés MRC et plastronne QU'IL S'AGIT D'UN BIEN PERSONNEL. Nous laissons faire et c'est nous qu'on traite d'extrémistes

Me Michèle Ndoki au motif pris de ce qu'elle a déclaré sa candidature (après avoir annoncé quelques mois plus tôt qu'elle était était en exil en côte d'ivoire parce que sa vie était menacée au Cameroun, un soir elle débarque à Douala et prend immédiatement la route de Yaoundé pour annoncer sa candidature à la tête du parti, l'exil prenant immédiatement fin) estime que la déclaration de sa candidature est un blanc seing lui conférant une immunité lui permettant de dire et de faire ce qu'elle veut jusqu'à traiter les militants du MRC et son Président de casseurs et d'intelligence avec la BAS. Elle ne s'arrête pas là, non rien ne peut arrêter Michèle Ndoki qui ne passe pas par mille chemins pour accuser Maurice KAMTO d'avoir modifié les textes en cours de mandat pour s'éterniser au pouvoir. En plus de la mauvaise foi, une méchanceté sauvage et barbare faite au nom de la liberté d'expression tirée de l'immunité que lui confère la déclaration de sa candidature.

Non Mais…

Et c'est nous oui nous et encore nous qu'on traite d'extrémistes. Pouvons nous combattre l'ordre de 82 sans discipline ?".