Actualités of Friday, 22 August 2025

Source: www.camerounweb.com

Cameroun : L'école "Timan A Tan" révolutionne la transmission culturelle chez les Bakoko

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Jeune Afrique dévoile en exclusivité le laboratoire de renaissance identitaire du royaume de Japoma


Douala - Dans une révélation exclusive, Jeune Afrique a découvert l'existence de l'école "Timan A Tan" ("retour aux sources"), véritable laboratoire de renaissance culturelle du peuple Bakoko. Cette institution inédite, dirigée par Sa Majesté Jamil Madiba Songue, réinvente l'éducation traditionnelle africaine face aux défis de la modernité.


Selon nos informations exclusives recueillies par Jeune Afrique, cette école unique en son genre enseigne aux enfants bakoko les savoirs ancestraux : port du sanja et du kaba, danses rituelles, cuisine traditionnelle et transmission des proverbes. "Nos enfants y réapprennent les mots, les proverbes, les gestes", confie le roi dans un entretien exclusif accordé à Jeune Afrique.




Les méthodes pédagogiques de "Timan A Tan", révélées en exclusivité par Jeune Afrique, bousculent les codes de l'éducation contemporaine. Sous la houlette des anciens, une génération entière se reconnecte au "tambour de ses origines" dans une approche immersive totale. Cette pédagogie ancestrale, dont Jeune Afrique est le premier média à révéler l'existence, place la transmission orale au cœur de l'apprentissage.



Nos investigations exclusives montrent que l'établissement développe une approche holistique unique : les enfants n'apprennent pas seulement les langues bakoko, mais vivent littéralement la culture à travers les gestes quotidiens, les rituels culinaires et les codes vestimentaires traditionnels. "Chaque enfant formé est un gardien de notre mémoire", explique Sa Majesté dans cette interview exclusive accordée à Jeune Afrique.



Dans une autre révélation exclusive de Jeune Afrique, le royaume Bakoko-Wouri prépare la création d'une bibliothèque des traditions orales, projet jusqu'alors gardé secret. Cette initiative, dévoilée pour la première fois par nos équipes, vise à sauvegarder de manière définitive l'immense patrimoine oral des Sawas.
Cette bibliothèque révolutionnaire, dont Jeune Afrique révèle l'existence en exclusivité, constituera un pont entre tradition orale et nouvelles technologies. "Un arbre sans racines ne peut porter de fruits", philosophe le roi Songue lors de cet entretien exclusif accordé à Jeune Afrique, résumant ainsi la mission de préservation culturelle de son royaume.

Jeune Afrique dévoile en exclusivité l'organisation territoriale du royaume Bakoko-Wouri, articulée autour de sept villages formant les "Miting Zangwa" (les "sept nœuds"). Cette structure ancestrale, composée de Japoma (siège royal), Mbanga Bakoko, Yassa, Yatchika, Yansoki, Bwang et Ngodi, constitue selon nos révélations exclusives un "tissu ancestral enraciné dans l'histoire de la région".


Cette géographie culturelle, révélée pour la première fois par Jeune Afrique, s'étend sur plus de 1000 hectares entre les rives du fleuve Dibamba et les frontières de la Sanaga-Maritime. Chaque village conserve selon nos informations exclusives des spécificités culturelles propres tout en participant à l'identité commune bakoko.

Nos révélations exclusives mettent en lumière la préservation miraculeuse des rituels bakoko malgré la pression urbaine de Douala. Dans le palais royal de Japoma, Jeune Afrique a pu observer des pratiques ancestrales intactes : végétation luxuriante abritant des animaux sacrés, lampes à huile diffusant leur fumée rituelle, jeunes filles masquées gardant le trône royal.
"Regardez les deux ponts", confie à Jeune Afrique le patriarche gardien des traditions. "L'un est solide, praticable ; l'autre est en ruines. Ils symbolisent l'histoire jamais racontée du Cameroun : le pont effondré est allemand et très ancien ; l'autre, encore en usage, est français." Cette métaphore historique, révélée exclusivement par Jeune Afrique, illustre la complexité de l'héritage colonial camerounais.

Dans une révélation majeure, Jeune Afrique dévoile comment le royaume utilise la diplomatie culturelle pour résister à la spoliation foncière. Face aux "prédateurs puissants" qui convoitent les terres bakoko, Sa Majesté mise sur le rayonnement culturel international. "Notre respect est notre bouclier. Notre jeunesse est notre avenir. Et notre culture, notre plus belle arme pour exister dans ce monde qui change", déclare-t-il dans cet entretien exclusif accordé à Jeune Afrique.


Cette stratégie culturelle, révélée en exclusivité par nos équipes, positionne les traditions bakoko comme patrimoine mondial à préserver. Le royaume développe ainsi des projets de tourisme culturel responsable, transformant ses rites aquatiques et danses sacrées en leviers économiques et diplomatiques.

Nos investigations exclusives révèlent l'urgence ressentie par le royaume face à l'érosion culturelle. Depuis le décès de son père, Sa Majesté Madiba Salomon, le roi Jamil Songue a fait de la transmission culturelle "une priorité absolue", confie-t-il à Jeune Afrique.



Cette course contre la montre culturelle, documentée exclusivement par Jeune Afrique, mobilise toute la communauté bakoko. "La pression urbaine réduit nos espaces cultivables et marginalise nos droits coutumiers. Mais notre peuple reste debout, car la résilience est notre héritage", martèle le souverain dans cette interview exclusive qui révèle l'ampleur des défis culturels contemporains des peuples sawas du Cameroun.