Le créateur de marque Germain Countchou se penche sur un sujet aussi vieux que l'humanité. La fausse entente entre une belle-mère et sa belle-fille. Ou disons plutôt la mésentente fréquente. Les deux, dans la plupart des couples, ne s'entendent pas vraiment.

« En tant qu’épouse, n’oublie jamais que ta belle-mère est plus importante que ta propre mère », dit-on.

Cette phrase choque, dérange même. Et pourtant, dans le contexte du mariage, elle cache une vérité que beaucoup de belles-filles ignorent ou refusent d’accepter.

Voici quelques conseils à toutes les belles-filles donnés par l'auteur cité. Respecter la place de sa belle-mère.

Elle a mis au monde l’homme que tu aimes, celui avec qui tu construis ta vie. Tu n’es pas obligée de l’aimer comme ta mère, mais tu lui dois respect et considération.

Faire la différence entre rivalité et sagesse. Ta belle-mère n’est pas ton ennemie. Parfois, elle est juste maladroite, possessive ou méfiante comme beaucoup de mères qui voient leur fils s’attacher à une autre femme. Ne tombe pas dans le jeu de la rivalité, choisis l’élégance de l’intelligence.

Ta mère t’a préparée à être une épouse, ta belle-mère t’observe en tant qu’épouse. Une femme peut impressionner par sa beauté, mais c’est son comportement qui gagne les cœurs d’une famille. Ne cherche pas à rivaliser, cherche à harmoniser.

Protège ton couple en préservant la paix avec sa famille. Les querelles avec la belle-famille créent des fissures dans le foyer. Garde ton foyer solide en étant sage et diplomate.

Aussi, tu n’es pas obligée de l’aimer, mais choisis de l’honorer. Même si ta belle-mère ne t’offre pas l’affection que tu espérais, choisis l’honneur et la dignité. Le respect ne parle pas toujours d’affection, mais de maturité.

En conclusion, dit le coach, la femme sage bâtit sa maison. Et cela commence par l’humilité de comprendre les dynamiques familiales. Rappelle-toi : ta mère t’aime naturellement, ta belle-mère apprend à t’aimer. Sois patiente.