L'élection présidentielle du 12 octobre 2025 fait vibrer le pays. Bangangté, ville en pays bamiléké aussi souvent appelée petit Paris, a toujours eu son mot à dire. Cette fois-ci encore, elle se mobilise pour un candidat, selon Samuel Bondjock, directeur de publication de Direct Info dans son récit suivant.
Comptant pour 70 % de l'électorat du département du Ndé, l'arrondissement de Bangangté a clôturé avec Maestria ce 29 septembre, la tournée départementale de lancement officiel de la campagne du candidat du RDPC dans le Ndé.
En effet, la présidente de la Commission départementale de campagne du RDPC pour le Ndé, Célestine Ketcha Courtès, a réservé le meilleur pour la fin. C'est dans une maison du parti pleine à craquer, que la délégation départementale a été accueillie avec solennité et liesse populaire, pour témoigner une fois de plus cette fidélité et cette loyauté sans faille au président de la République, Paul Biya, qui a tout donné à Bangangté, en commençant déjà par le poste de la deuxième personnalité du pays, depuis 2013 ; les postes de ministre de la République et de directeur général ; et plusieurs hauts cadres de l'administration publique.
Il faut dire que la Commission communale de campagne du RDPC de Bangangté, est présidée par Éric Aimé Niat, par ailleurs maire de la commune de Bangangté.
Et pour renforcer cette mobilisation populaire, madame la présidente de la Commission départementale de campagne du RDPC dans le Ndé, Célestine Ketcha Courtès, ministre de l'Habitat et du Développement urbain, a déployé des grands moyens pour clôturer en beauté cette première tournée départementale.
Dans son discours de circonstance, Célestine Ketcha Courtès a tenu à rappeler aux centaines d'électeurs présents en salle, de ne pas se laisser tromper par des débrouillards politiques. Sachons bien que la ville de Bangangté est et reste la fille chérie du président Paul Biya, avec tous les services sociaux de base, avec notamment les routes bitumées, l'eau, l'électricité, les écoles, les lycées, les universités et grandes écoles, les réseaux téléphoniques, l'Internet, les centres de santé, etc.