Vous-êtes ici: AccueilActualités2023 03 06Article 712985

Actualités of Monday, 6 March 2023

Source: www.camerounweb.com

Amougou Belinga jeté en prison de Kondengui : voici la première ‘réaction’ énergique de Ferdinand Ngoh Ngoh

Ferdinand Ngoh Ngoh maitrise la situation Ferdinand Ngoh Ngoh maitrise la situation

Selon le lanceur d’alerte Boris Bertolt, le Secrétaire général de la Présidence de la République Ferdiand Ngoh Ngoh serait derrière le tir groupé des journaux ce lundi contre le DCC, Samuel Mvondo Ayolo. L’on pourrait voir par ricochet une première réaction de celui qui est considéré comme le demi-dieu du Cameroun après les derniers rebondissements dans cette affaire tentaculaire de l’assassinat de Martinez Zogo.



« La justice militaire est placée sous la coupole du ministre délégué à la Défense qui lui-même répond du chef de l’Etat, le commandant en chef des armées. C’est donc Paul Biya qui, en définitive, a validé au vu des éléments fournis, la proposition d’envoyer AMOUGOU BELINGA et Eko Eko derrière les barreaux pour des charges de complicité par torture. Si a priori, l’homme à la Punk devait savourer sa victoire, lui qui est à la manœuvre depuis la découverte du corps de Martinez Zogo et même peut-être avant, ce n’est pas le cas. Il espérait depuis le début, profiter de cette sordide affaire pour affaiblir si ce n’est éliminer Laurent Esso et Mvondo Ayolo et la chance aidant, son principal et redouté ennemi politique Louis Paul Motaze », charge Boris Bertolt.

Le lanceur d’alerte Boris Bertolt, qui depuis plusieurs années a lancé une véritable guerre contre Ferdinand Ngoh Ngoh, qu’il ne ménage jamais, y naturellement la main de SGPR derrière les enquêtes dans l’affaire Martinez Zogo.


« L’homme à la Punk qui a mis les moyens de l’Etat à disposition des enquêteurs pour ne rechercher dans cette affaire que ce qui détruirait ses adversaires politiques, n’a donc pas eu la vista escomptée et rumine depuis vendredi sa colère. Et c’est par voie de presse qu’il le signifie au chef de l’Etat en mettant à contribution ce lundi matin ses journaux pour pointer un doigt accusateur sur l’un des proches collaborateurs du chef de l’Etat, le directeur du cabinet civil, Samuel Mvondo Ayolo, accusé d’avoir tenté de libérer Amougou Belinga dans une affaire se trouvant pourtant entre les mains du chef de l’Etat. Or il n’en est rien. Qui peut prendre sur lui d’intervenir dans un dossier suivit directement par Paul Biya au Cameroun ? Qui ? Ni le ministre de la défense et encore moins le commissaire du gouvernement n’ont reçu le coup de fil de quiconque pour libérer Maxime Eko Eko ou Amougou Belinga », opine Boris Bertolt.

Il est évident que ce matin, plusieurs journaux ont titré et tiré sur le DCC, Samuel Mvondo Ayolo et pour Boris Bertolt, c’est celui qu’il nomme l’homme à la Punk qui serait derrière la manœuvre.


« L’homme à la punk a un goût amer de la situation. Dans sa manœuvre, il poursuit son seul objectif qui est d’associer coûte que vaille ses ennemis à la mésaventure du Zomlo’a des Zomlo’a alors même que l’enquête pourrait à terme le viser quand il s’agira de retrouver ceux qui sont venus finir le travail du tortionnaire DANWE Justin. Passons pour l’instant sur cet aspect car nous y reviendronsCe lundi, qui est mis à contribution pour cette besogne nauséabonde ? le journal Repères de feu Richard Touna que son épouse, Regine Touna, a décidé depuis fort longtemps de livrer à la prostitution journaliste en le mettant au service exclusif de l’homme à la Punk contre ses ennemis dont Laurent Esso; homme chez qui elle mangeait grassement hier. Ce n’est pas tout : dans le cas de ce matin, le journal Reperes ne se contente pas seulement d’accuser le directeur du Cabinet civil d’être intervenu directement dans cette affaire au nom du chef de l’Etat pour libérer le Zomlo’a, Mme Touna s’est chargée de porter la même accusation par des journaux qu’elle a domiciliés dans sa rédaction : L’Expression, Projections, Pélican… caractères graphiques, chapeaux identiques…Le sang de Martinez est amer. Il sera amer pour tout le monde. C’est maintenant que l’affaire commence », a conclu Boris