Affaire Malicka : quand drogue, alcool et partouze se disputent tristement la vedette dans un roman

• L'affaire Malicka s'invite dans un roman

• Cyrille Kemmegne en est l'auteur

• L'ouvrage littéraire s'intitule 'Malicka'


L'affaire Malicka s'est invité dans un nouvel ouvrage littéraire au Cameroun. Il s'agit d'un roman du journaliste Cyrille Kemmegne intitulé 'Malicka'.

Le journaliste revient sur les dessous de l'affaire a caractère pornographique qui a impliqué Martin Camus Mimb et deux autres acteurs.

« C’est une histoire de viol qui ne ressemble à aucune autre. C’est une folle aventure de sexetape, retranscrite avec trop peu de pudeur dans un roman qui ne ressemble à aucun autre. L’horrible scène de drogue, suivie d’une partouze hors norme, se déroule au Wandafoukistan, un pays hors du commun, l’on dirait même unique au monde; un pays qui ne ressemble à aucun autre, parce qu’il marche résolument sur la tête. Là-bas, au Wandafoukistan, tout ce qui est interdit sous d’autres cieux, est permis. Tout le monde y est censé ignorer la loi parce que les plus forts, censés protéger les plus faibles, ne sont pas sensés et bénéficient d'une immunité qui ne dit pas son nom, pour gruger les plus faibles », a expliqué l'auteur de l'ouvrage.

« 'Malicka', le seul titre du roman que je viens tout juste de commettre aux Éditions Sydney Laurent, en France, pourrait donner du tournis à plus d'un. Une histoire susceptible de vous couper le souffle. Quand drogue à gogo, alcool à n'en plus finir et partouze «à bouche que veux-tu» se disputent tristement la vedette dans un roman écrit avec les mots qui vous plongent profondément dans l'ambiance qui a prévalu pendant toutes les parties de jambes en l'air et les dégâts collatéraux qui s'en sont suivis », a-t-il ajouté.

Selon Cyrille Kemmegne, ne pas lire 'Malicka' serait passer à côté d'une occasion exceptionnelle de découvrir à quel point nos sociétés sont bondées de vendeurs de rêves, ces hommes et femmes qui profitent de la naïveté des autres pour se la couler douce et satisfaire leurs fantasmes sexuels en tous genres.

« Ce roman qui ne ressemble à aucun autre donne les preuves qu' «après la fête sexuelle, on gratte la tête ». Presque toujours, « après l'amour, c'est le repentir», plus est quand l'une des parties a drogué et violé l'autre en bandes organisées, quand l'on a usé et abusé de ses prérogatives conférées par le Wandafoukistan.
Vous découvrirez, en parcourant les pages rythmées de mon roman passionnant, combien un aventure amoureuse a des chances réelles de s'achever par une mésaventure », indique-t-il.