Activement recherché : il commet une atrocité et prend la fuite

C’est un comportement d’une extrême lâcheté. Violenter dangereusement sa femme, la laisser dans un état mourant et essayer de sauver sa peau en s’enfuyant, c’est l’histoire d’un homme qui est actuellement recherché.

C’est Dr Carole Modestine Yonzou Tchatchouang qui lance l’alerte sur les réseaux sociaux, avec des photos du monsieur publiées sur sa page.

« Alerte : un jeune homme en fuite après avoir battu sa femme à mort avec une machette chaude, l'abandonne à l'hôpital.

Le nommé Serge Mukum, originaire de Bali Nyonga dans la région du Nord-Ouest du Cameroun, serait en fuite après avoir battu sa femme, Bosung Gytta, (également de Bali nyonga), avec une machette chaude et l'avoir gravement blessée au point où elle a risqué la mort.

La jeune fille de vingt-six (26) ans a subi de graves blessures sur pratiquement toutes les parties de son corps. Elle est incapable de s'asseoir, incapable de parler et ne peut rien faire pour le moment.

"Ce n'est d’ailleurs pas la première fois que cela arrive : il a utilisé un couteau sur elle, il a utilisé une machette et un bâton. Quand il frappe sa femme, il ne s'arrête pas, même quand elle commence à saigner », a déclaré un cousin.

Alors que les forces de sécurité continuent à traquer Serge qui est en fuite, voici ce qu'il a envoyé à la famille de sa femme.

"En fait, je ne mérite pas de revivre. J'ai essayé de prendre ma vie hier deux (02) fois mais je n'arrêtais pas de voir le visage de Gutta et ceux des enfants qui pleurent. Je ne pourrai plus jamais être considéré comme un être humain. Mais je sais que tout cela n'est pas normal, parce que je ne sais pas comment j'en suis arrivé là. Toute ma vie, je n'ai jamais été comme ça, tout ce que je vous ai demandé, c'est d'avoir pitié de moi et de ma famille", a écrit Serge Mokum.

La famille de Gytta veut la sauver. Ils vous prient de faire circuler ce message pour repérer ce jeune homme et demande également justice pour leur fille qui a subi un traumatisme physique et mental de la part de son mari », a publié Dr Tchatchouang.