Le pasteur Marcello Tunasi a répondu aux rumeurs. Depuis qu’il s’est remarié, de plus en plus de voix se lèvent pour l’accuser d’avoir tué Blanche, la mère de ses enfants.
Il y a quelques heures, lors de son sermon, l’homme de Dieu a dit sa vérité sur le sujet de la mort de son ancienne compagne : « Leur objectif, me nuire personnellement et anéantir mon ministère. Récemment, un appel anonyme d’Afrique du Sud m’a confirmé être en possession de messages vocaux dans lesquels Blanche était en train de se confier à sa maman. Ces paroles arrachées de leur contexte me faisant passer pour un mauvais mari alors que vous tous ici savez à quel point on s’aimait et dans chaque couple, il y a des frictions comme dans vos couples.
Et en 18 ans, jamais nous n’avons parlé de divorce, je ne l’ai jamais frappée, je ne l’ai jamais insultée. Après 18 ans de mariage, je l’ai redemandée en mariage, je lui ai donné une bague en diamant, elle avait même témoigné dans une émission ici. Quand vous voyez ses dernières vidéos, cette femme était heureuse, épanouie.
Aujourd’hui, on veut changer toute cette belle histoire en un couple détruit. C’est totalement faux. Ceux qui veulent me croire croiront, mais ceux qui ne veulent pas ne croiront pas. Mais je sais qui je suis devant Dieu et comment j’ai fait de tout mon mieux pour que cette femme ne manque de rien.
Il m’a également été reproché qu’Esther, venait déjà à Kinshasa du vivant de Blanche, ce qui est faux. Je l’ai rencontrée après le départ de Blanche, au travers d’un ami. Avant cela, je ne la connaissais pas et on ne se connaissait pas. Et on dit que j’allais souvent au Canada plus de 10 fois. De toute ma vie, je suis allé au Canada que deux fois, pendant que Blanche était encore vivante. Et après j’ai voulu y aller, je n’ai pas eu le visa.
Et ce qui est pire, on dit que j’ai pris ses habits, j’ai mis dans des sacs poubelles pour donner à la belle-famille. On a mis ses habits dans des valises et des gros sacs parce qu’il y en avait beaucoup. J’ai dû même leur prêter un bus pour amener les habits. 4 valises et 6 grands sacs. Et si quelqu’un doute, je vais envoyer au président du département, vous verrez les photos.
Et ce qui est terrible, on m’accuse même de l’avoir tuée, alors qu’elle est décédée d’une crise cardiaque suite à une opération. Ils m’ont demandé, elle est morte de quoi, je leur ai dit : On l’a opérée, elle n’a pas supporté l’opération. Ils savent de quoi elle est morte. Et aujourd’hui au Congo, quand tu deviens grand, tu tues les gens. Quiconque meurt à côté de toi, c’est toi qui le tues. Comment puis-je tuer la mère de mes enfants ? Priver Tabiri de sa maman, comment ? Moi serviteur de Dieu ?
Le problème, c’est que souvent les gens attribuent aux autres leur pauvreté. Tout cela n’est qu’un chantage motivé par l’appât du gain, car cette personne me dira donne-nous de l’argent, nous avons des voice, sinon nous allons te détruire. Pourtant, malgré tout, je suis disposé à donner 250 000 dollars à la famille par respect pour Blanche et pour la paix ; mais je ne peux pas accepter l’injustice d’une exigence démesurée de 800 000 dollars, jamais de la vie.
C’est pourquoi j’aimerai dire aux veuves et aux veufs, ne vous laissez pas dépouiller. Ce que je prêche, je le vis. Et je rends grâce à Dieu pour toutes mes épreuves et tous mes combats, je suis l’un des hommes de Dieu les plus persécutés aujourd’hui dans ma génération ».