Il n’y a que de camerounais pour être à la base de tels actes. Les camerounais donnent l’impression que notre pays est maudit. Décryptage d’un acte qui défit l’imagination.
La triste scène se passe à Paris où la fille de feu Jean Bikoko Aladin est morte. Marcelline Ngo Bikoko artiste danseuse est morte le 23 juin 2015 à l’hôpital Pontons à Paris.
Tandis que la famille du de cujus s’organise pour le rapatriement de la dépouille, une sorte de d’évêque anglican nommé Pouhé Junior, et dame Kanwa Kamdem Nicole Sara, organisent l’enlèvement du corps à la morgue Villepinte Funéraire deux jours avant la date fixée par la famille le 15 juillet 2015.
Ce coup est réalisé avec des documents truqués, les même faux documents qui serviront à ces deux malfrats à vider le compte de la défunte d’un montant de onze mille euros. Jusqu’à date, la famille ne sait où se trouve le corps de Marcelline Ngo Bikoko. En l’état actuel des faits, on ne peut dire si ce sont des trafiquants d’os humains ou de manipulateurs de cadavres qui sont en possession de la dépouille de Mlle M.N. Bikoko.
C’est le lieu de signaler ici le rôle joué par les deux compères, oui les mêmes au Cameroun lors du décès de Bikoko père, l’avaient fait enterrer à Eseka en lieu et place de son village natal Biyouha dans le Nyong-Ekellé. C’est Marcelline Ngo Bikoko qui voulait exhumer le corps de son père pour un enterrement au village. Cette opposition serait-elle à la base, et de la mort, et de la disparition du corps de Ngo Bikoko ? Qu’est ce qui se cache réellement derrière tout ceci ?
Une chose ne souffre d’aucun doute « Mgr » Pouhé et Kanwa Kamdem n’avaient rien à voir dans cette affaire n’étant pas de la famille. C’est pourquoi la famille insiste pour que le corps de Marcelline Ngo Bikoko leur revienne.