Le Réseau des Defenseurs des Droits Humains en Afrique Centrale (REDHAC) a donné un point de presse à Douala, au sujet de l’execution de deux femmes et deux enfants dont un bébé achroché sur le dos de sa mere. C’était dans une atmosphere de deuil.
La Barbarie.
Une vidéo avait circulé en boucle sur les reseaux sociaux, montrant cette scene horrible. Montrant des hommes en treillis executant cette barbarie inqualifiable. Le Redhac était alors monté au crénau pour denoncer cet enieme scandale. Anmesty International avait également condamné et fustiger cette barbarie atroce aussi bien que les Camerounais de la diaspora. Convaincus de la veracité de cette video , ils avaient pointé le doigt accusateur sur les éléments des forces de dafense Camerounaises.
Le mensonge d’Etat
En reponse, le gouvernement Camerounais avait reagi pour fustiger une video trafiquée relevant du « fake news » monté de toutes pieces par des ennemies
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qui visent à destabiliser le Cameroun. Non sans jeter aux gemonies les organisation de defense des droits de l’homme ( Amnesty International et le Redhac) pour acharnement sur les forces armées Camerounaises. Malgré tout, le Redhac a continué à mettre la pression à force de details pour la manifestation de la verité.
Le president de la Republique et le premier ministre interpellés.
Il n’en fallait pas plus pour que le ministre de la communication porte parole du gouvernement, dans un communiqué avoue les faits denoncés dans cette video. Sept éléments des forces de defense Camerounaises ont été interpellés dans la dite affaire : les interressés ont été mis à la disposition de la justice et ferant l’objet d’unproces équitable a donc precisé Issa Tchiroma Bakary. Face à cette volte face, au redhac on s’insurge conter cette overdose de mensonge et de mepris qui a fait du Cameroun un « Etat voyou » ou on a banalisé la mort.Le massacre des femmes et enfants ne doit pas rester impuni, la justice doit dire la justice. Le Redhac va se constituer et appelle au president de la Republique et au premier ministre chef du gouvernement à prendre leurs responsabilités.