Pornographie en milieu scolaire : la sortie maladroite de l’ISSAM

• Des vidéos pornographiques inondent la toile

• Issam crie à une cabale

• L’institut ne dément pourtant pas les faits

L'Institut supérieur des sciences, arts et métiers (ISSAM) sort du silence après la publication de plusieurs vidéos à caractère pornographique attribuées à des étudiants de cette université privée. ISSAM dans une note intitulée « démenti » crie à une cabale des personnes aux esprits tordus. Contre toute attente le communiqué ne dément pas l’implication des étudiants de l’ISSAM dans la réalisation des vidéos devenues virales sur les réseaux sociaux. L’université se contente d’indiquer que les scènes obscènes n’ont pas été tournées au sein de l’Issam.

« Des vidéos circulent depuis peu sur les réseaux sociaux démontrant des jeunes en plein ébats sexuels et masturbation, attribués à l'Institut supérieur des sciences, arts et métier. Nous tenons par la présente à nous dissocier fortement de toute cette cabale montée de toute pièce par des personnes aux esprits tordus, visant à entacher la crédibilité grandissante de l'Issam, dans la mesure où les activités à caractère pornographiques diffusés sur les réseaux sociaux n'ont pas pour cadre l'institution universitaire », indique le communiqué.

Comme des stars de porno

Les milliers de visiteurs actuellement au Cameroun pour participer à la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations ne s’ennuient pas. Visites touristiques, découverte des plats et danses locaux, chacun s’occupe comme il peut. Si certains partagent avec leurs abonnés sur les réseaux sociaux leur première expérience avec les taxi-motos ou encore leur premier pas de danse Bikunti, d’autres préfèrent mettre en ligne leurs prouesses sexuelles. Les réseaux sociaux sont inondés depuis mercredi par des films érotiques mettant en action de jeunes et belles camerounaises avec des hommes.

Sexe en groupe, sodomie, levrette, andromaque, cadenas, cuillère, pieuvre, cavalière… les filles se mettent dans des positions les plus inimaginables dans la dizaine de vidéos que la rédaction de CamerounWeb a consultée.